Revue de presse PSG : Hakimi, Hernandez, D1, Endler, Neymar/Nike…

Vu et lu au sujet du PSG ce samedi 29 mai 2021 dans la presse hexagonale : le choc de D1 Arkema à Lyon qui se profile et qui décidera du titre. « C’est peut-être à la fin d’une époque que le football féminin va assister demain soir, observe la Charente Libre. Si le PSG version QSI s’est donné ces dernières années les moyens de lui ravir le trône, Lyon a toujours réussi à contrecarrer les assauts parisiens en le maintenant dans la position de dauphin. Mais cette saison semble marquer un tournant. L’OL a semblé moins rayonnant. Plombé par un effectif vieillissant et privé de son Ballon d’Or, Ada Hegerberg. […] Un nul suffirait au bonheur des Parisiennes. »

L’Equipe constate que Christiane Endler, la gardienne de but du PSG, sera dans une position particulière. La Chilienne devra demain défendre la cage parisienne face à l’OL qu’elle va rejoindre cet été… « Elle avait envie d’un autre défi, après quatre ans dans la capitale, explique le journal sportif. Paris va devoir retrouver une gardienne avec l’étoffe d’une patronne. » Et reconstruire un effectif puisque Morroni (OL ?), Bruun (OL) et Paredes (Barcelone ?) seraient aussi sur le départ, en fin de contrat. Tout comme le coach, Olivier Echouafni… Autre mauvaise nouvelle, Marie-Antoinette Katoto est incertaine pour le OL-PSG demain, alors que les Fenottes seront au complet.

Rayon mercato (qui n’ouvrira officiellement ses portes que le 9 juin), Achraf Hakimi et Theo Hernandez sont encore loin du PSG, prévient Le Parisien, même si les deux pistes sont de qualité. Concernant le latéral droit hispano-marocain, « il n’y a rien, il a quatre ans de contrat avec l’Inter », clame ainsi son entourage.

Et puis il y a l’affaire Neymar/Nike, depuis l’article du Wall Street Journal hier, qui place forcément le PSG dans une position très inconfortable. Il est question d’une agression sexuelle qui se serait déroulée dans un hôtel de New York en juin 2016. Sur son compte Instagram, Neymar a nié (« Prétendre que mon contrat a été résilié parce que je n’ai pas contribué de bonne foi à une enquête est absurde, c’est un mensonge. Je n’ai pas eu l’occasion de savoir qui était la personne offensée. Je ne la connais même pas. Je n’ai jamais eu de relation. Je n’ai même pas eu la chance de parler, de connaître les vraies raisons de sa douleur. Je suis fermement et fortement convaincu que le temps apportera les vraies réponses »). Son clan parle de complot de l’équipementier. « La femme, toujours employée chez Nike en 2021, devait mettre au point la coordination et la logistique d’un événement promotionnel impliquant le joueur. Selon son témoignage, après une soirée de fête arrosée, elle aurait aidé la star éméchée à rejoindre sa chambre. Là, Neymar aurait essayé de la forcer à pratiquer une fellation. Le joueur aurait par la suite empêché la femme de quitter la pièce avant de la poursuivre à travers le couloir dans le plus simple appareil. Dans le droit pénal de l’État de New York, une fellation forcée est un «acte sexuel criminel au premier degré» passible de 25 ans de prison », écrit Le Parisien qui a sollicité le club pour avoir une réaction. Le PSG a répondu qu’il n’avait «aucun commentaire» à faire sur cette histoire. D’autant plus que Nike admet que son enquête indépendante sur l’affaire « n’a pas été concluante ». Et qu’il ne peut se montrer accusateur envers le Brésilien (aujourd’hui chez Puma) dans ces conditions. Si Neymar « ne risque pas grand-chose économiquement, sportivement et pénalement, son image risque de souffrir de cet épisode », juge Le Parisien. Car « en 2019, il avait déjà été impliqué dans une affaire du même genre et accusé de viol par une autre femme. Une accusation qu’il avait aussi rejetée. L’affaire avait été abandonnée par la justice. »

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