Dans son édition à paraître mardi, France Football s’interesse à Hatem Ben Arfa. Un dossier qui intervient quatre jours après la publication de l’officialisation (évidente) de son départ du PSG (au 30 juin) sur son compte Instagram. Une communication possiblement concoctée par Michel Ouazine, son avocat Jean-Jacques Bertrand, Bruno Sevaistre, Fabien Onteniente voire Bruno Roger-Petit, journaliste proche et prompt à le défendre pour mieux descendre Unai Emery (avant de rejoindre l’Elysée).
Pour rappel, le 5 avril 2018, cela fera un an que l’attaquant français n’aura plus joué en match. C’était contre Avranches, lors des quarts de finale de Coupe de France. HBA n’était déjà alors qu’un élément d’appoint au sein de l’effectif.
Au troisième jour de la reprise, début juillet 2017, le joueur arrive avec un quart d’heure de retard au Camp des Loges, jour du discours de Nasser al-Khelaïfi pour déterminer le cap. La goutte qui fait déborder le vase. L’équipe réserve lui est alors promise s’il reste. Le bras de fer s’intensifie. Le PSG tiendra sa promesse (à compter du 4 septembre et jusqu’au 15 puis du 28 au 10 octobre). Mais devra bien lui verser les 7M€ de sa dernière année de salaire.
« S’il n’a pas reçu des tonnes de soutiens bruyants de la part du vestiaire, il n’en a jamais été exclu » remarque France Football. Même si HBA a déserté le Parc des Princes les jours de match (exception faite pour la réception de Nice le 27 octobre).
Le passage au PSG d’Hatem Ben Arfa aura été un échec sportif, humain et économique, pendant deux années.