Revue de presse PSG : Penalty, Vitinha, Ousmane Dembélé…

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce dimanche 24 août 2025. La maladresse du PSG sur les pénaltys, qui va tirer les pénaltys cette saison au PSG ?…

L'equipe 24 08 2025

Dans son édition du jour, L’Equipe évoque les pénaltys manqué par le PSG. Si le club de la capitale a brillé lors des séances de tirs au but contre Liverpool en huitièmes de finale de la Ligue des champions et lors de la Supercoupe d’Europe contre Tottenham, c’est un peu plus compliqué dans le jeu avec trois ratés sur ses cinq dernières tentatives. La première information de la semaine est que Luis Enrique a sanctionné Vitinha pour ses deux échecs, après que le Portugais a inscrit ses cinq premières tentatives depuis le début de la saison dernière. La deuxième est que l’entraîneur espagnol ne croit pas à la démocratie ni à l’auto-gestion, dans ce domaine non plus. « Je suis le boss, et je peux choisir n’importe quel joueur », a-t-il rappelé, vendredi soir. On ne verra donc pas de penaltygate au PSG, cette saison, a priori, avance le quotidien sportif. « Depuis l’arrivée de Luis Enrique au PSG, ce sont Mbappé et Ramos qui ont tiré le plus souvent les penalties ou les tirs au but. Mais Mbappé est parti, Ramos n’est pas toujours sur le terrain, et Paris cherche un tireur numéro 1 fiable. La saison dernière, hors tirs au but, cinq joueurs avaient pris au moins un penalty (Ramos, Vitinha, Lee, Dembélé et Kolo Muani), la logique du départ des stars, gros buteurs, gros ego », analyse L’Equipe. Avant qu’il n’arrive au PSG, il s’attachait à Luis Enrique quelque chose d’une malédiction sur les tirs au but et les penalties. Il n’en aura eu que de mauvais souvenirs avec l’Espagne, ou presque. Joueur, il a arrêté sa carrière professionnelle le soir de sa 62e et dernière sélection et d’une séance de tirs au but perdue face à la Corée du Sud (0-0, 3-5 aux t.a.b.), en quarts de finale de la Coupe du monde 2002, rappelle le quotidien sportif. Sélectionneur, cela ne s’est pas vraiment arrangé : il a été sorti en demi-finales de l’Euro 2021 par l’Italie (1-1, 2-4 aux t.a.b.) après l’arrêt de Gianluigi Donnarumma devant Alvaro Morata, et la veille de son élimination par le Maroc (0-0, 0-3 aux t.a.b.), en huitièmes de finale de la Coupe du monde 2022, il affirmait que les tirs au but n’étaient pas une loterie, conclut L’Equipe.

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canalsupporters.com
Le parisien 24 08 2025

De son côté, Le Parisien évoque aussi les pénaltys et se demande qui va tirer ces derniers cette saison au PSG, après les échecs récents de Vitinha et Ousmane Dembélé. Le raté de l’international français contre Angers relance la question de l’identité du tireur numéro 1 des champions d’Europe, avance le quotidien francilien. « Le débat était déjà réapparu en août 2024, à l’issue du premier match au Havre, quand Randal Kolo Muani s’était chargé de prendre ses responsabilités alors que Vitinha avait été désigné par Luis Enrique. Un épiphénomène au cours d’une saison où le Portugais s’est montré impérial dans l’exercice avec cinq premières tentatives réussies avant de manquer les deux suivantes contre Arsenal, en demi-finale retour de Ligue des champions, et lors de la séance de tirs au but de la Supercoupe d’Europe face à Tottenham« , souligne Le Parisien. Voir Ousmane Dembélé reprendre le flambeau vendredi au Parc des Princes, alors que son coéquipier portugais se trouvait sur la pelouse, avait donc valeur de petit événement. Même si l’on estime en interne qu’il n’y a pas de sujet. Le quotidien francilien indique que la hiérarchie des tireurs mise en place par Luis Enrique n’est pas très claire. « Lors de la Coupe du monde des clubs, Vitinha avait sous-entendu qu’il pourrait laisser son partenaire français s’occuper des pénaltys si les deux hommes étaient en même temps sur le terrain, ce qui dessinait une petite évolution par rapport aux précédentes tentatives. » Lors des cinq derniers pénaltys tirés par le PSG, quatre joueurs ont tenté leur chance (Vitinha, Gonçalo Ramos, Lee Kang-in et Ousmane Dembélé). Ce casting éclectique fait écho au mode de fonctionnement de l’Espagnol et à son turnover qui l’incite généralement à choisir l’identité de son tireur quelques heures avant les rencontres, après avoir échangé avec les principaux concernés, avance Le Parisien. « Si le coach parisien peut donner davantage de responsabilités à certains qu’à d’autres, il peut aussi, selon le scénario des matchs, laisser le pénalty à un joueur qui manque de confiance ou en recherche de sensations, comme Dembélé, qui n’a plus marqué en Ligue 1 depuis le 16 mars. » Dans son effectif, Luis Enrique dispose d’autres atouts comme Nuno Mendes ou Désiré Doué, qui affichent 100 % de réussite depuis le début de leur carrière (trois tentatives converties en séances de tir au but), et pourraient être des alternatives crédibles. Autant de possibilités qui amènent le club à vivre cette situation avec une grande tranquillité et une véritable sérénité, très loin du tumulte des précédents « pénaltygate », conclut Le Parisien

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