Giesbert : « Oh, pardon, chers Parisiens, si le soleil sera, d’après la météo, absent ce soir. N’importe comment vous ne nous le prendrez jamais ! »

Journaliste, écrivain, Franz-Olivier Giesbert a signé l’édito de La Provence, en première page, ce dimanche. Etait-il dans un état second à l’approche du Classique entre l’Olympique de Marseille et le Paris Saint-Germain. Quoi qu’il soit, il prévient que le soleil ne brillera pas cette nuit à Marseille. Et on s’en serait douté, sinon on appellerait cela le jour…

« Gageons qu’il flottera ce soir, une fois encore, une forte odeur de poudre au stade Vélodrome. Pas seulement à cause de l’enjeu du Clasico mais aussi parce que ces capitales, l’une de France, l’autre de Provence, ne peuvent pas s’encadrer, écrit FOG dans le journal marseillais. Marseille pourrait aussi prétendre au titre de capitale. Sans parler d’Aix ou d’Avignon. Nous avons tout ce qu’il faut en Provence. L’inventivité, les monuments historiques, l’esprit cosmopolite, des paysages à couper le souffle. Nous n’avons pas non plus de complexes. […] Oh, pardon, chers Parisiens, si le soleil sera, d’après la météo, absent ce soir. N’importe comment, quoi que vous fassiez, vous ne nous le prendrez jamais ! »

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