Bref, le scénario du pire, avec la FIFA à la baguette. Dans le collimateur : Nasser al-Khelaifi.
Vrai ou faux ? Selon les informations de Canal Supporters, la FIFA n’est pas à l’origine de l’enquête ouverte par la justice suisse. Et si un des organes juridictionnels de la FIFA, l’indépendante Commission d’Éthique s’est saisie du dossier, c’est parce qu’elle a obligation de le faire dans un tel cas de figure. Ici l’ouverture d’une enquête par le MPC.
D’après des proches du club, le PSG ne se sent ni visé, ni attaqué par la FIFA. La fédération internationale lui ayant même assuré que ce n’était pas le cas. On est donc loin de la version donnée par L’Equipe ce mardi.
On rappellera la ligne de défense du beIN Media Group face à cette enquête : l’absence de concurrence sur les territoires cités (Moyen-Orient/Maghreb) en ce qui concerne les droits TV des prochaines coupes du monde 26 et 30. Ce qui démonte l’intérêt d’une potentielle corruption. Mais aussi la juste évolution et augmentation des prix pour les droits sur cette compétition.