La revue de presse PSG

Vu et lu dans la presse hexagonale au sujet du PSG ce jeudi 10 mars 2016.

« Bon cette fois, il faudrait juste éviter Barcelone et la promesse d’une demi-finale deviendrait concrète. Puisque les grands matchs appartiennent aux grands joueurs, Di Maria et surtout Ibrahimovic, les deux meilleurs de la saison, se sont occupés de tout, avec une passe décisive puis un but pour le géant suédois, écrit Le ParisienLe PSG n’a jamais tremblé. Ce sont les joueurs parisiens qui l’affirment. Et il faut les croire sur parole. Il faut croire que ce collectif commence à prendre de la bouteille et que le vécu commun a quelques vertus. On peut même escompter que l’équipe qui s’était présentée il y a deux ans à Stamford Bridge, aurait certainement craqué dans le contexte d’hier soir. (…) Pour la quatrième fois de suite, Paris verra le printemps et au moins les quarts de finale. Avec encore Benfica et Wolfsburg en course — le Real aussi quand même —, il y a peut-être un coup à jouer avec un peu de chance au tirage au sort. »

Les notes du Parisien : Trapp 8 / Marquinhos  7 / Silva 8 / Luiz 5.5 / Maxwell 6 / Rabiot 6.5 / Motta 6 / Matuidi 5 / Di Maria 7.5 / Ibrahimovic 8 / Lucas 6.

Les notes de L’Equipe : Trapp 8 / Marquinhos  7 / Silva 8 / Luiz 5 / Maxwell 6 / Rabiot 7 / Motta 6 / Matuidi 6 / Di Maria 8 / Ibrahimovic 8 / Lucas 7.

« Cette fois, il n’y eut pas d’explosion de joie, pas d’envahissement de terrain par le banc des remplaçants ou de poings vibrants et rageurs au coup de sifflet final comme ce fut le cas la saison dernière. Évidemment, les Parisiens étaient heureux mais ils ont tellement maîtrisé la soirée qu’il y avait finalement une forme de logique, estime L’EquipePour la première fois de sa carrière, Zlatan a marqué à la fois à l’aller et au retour d’un match à élimination directe de Ligue des champions ! (…) Le comble, c’est que cet épilogue est intervenu lors d’une rencontre où il aura eu un comportement particulièrement altruiste et fit preuve d’entrée d’une application notable dans ses décrochages. Il était moins présent devant le but ? Pas grave. Sa présence récurrente densifiait l’entrejeu parisien et favorisait une récupération rapide du ballon tout en permettant à Lucas et Di Maria de se projeter dans l’axe en exploitant leur pointe de vitesse. Ce n’est pas tout. Non content de se livrer à une sacrée empoignade avec Ivanovic, Ibra a fait une démonstration de protection de balle. Dans un registre moins clinquant, il a apporté son écot pour compenser les manques que pouvaient laisser craindre l’absence de Verratti et l’état de forme de Matuidi. »

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