La revue de presse PSG : ASSE, Al-Khelaifi, Blanc, Lavezzi, Cavani…

Vu et lu dans la presse hexagonale au sujet du PSG ce mercredi 17 janvier 2015.

« Sur le papier, une victoire chez le 3e du championnat a de la gueule. Au moins, l’équipe de Laurent Blanc a su rester sérieuse. Mais sans allant, sans génie, et avec une fragilité défensive toujours palpable. Avec Lacazette en face ou un Palmieri quelconque en état de grâce, Douchez n’aurait pas passé une aussi bonne soirée, avance Le ParisienL’après-match restera marqué par le cas Laurent Blanc. Son président l’a soutenu dans des proportions assez conséquentes qui range l’idée d’un limogeage dans un placard fermé à double tour et avec un cadenas dont la clé serait jetée dans le Rhône. »

« Nasser Al-Khelaïfi rongeait son frein. Le dirigeant qatarien avait eu le temps de mûrir et de préparer le discours qu’il souhaitait tenir à Ibrahimovic et ses coéquipiers avant le match, poursuit le quotidien francilien qui annonce les retours d’Edinson Cavani et d’Ezequiel Lavezzi dans le groupe face à l’ETG. Rarement, pour ne pas dire jamais, les joueurs ne l’avaient vu se lancer dans une telle diatribe. S’il est vrai que Nasser Al-Khelaïfi aime ses joueurs, il sait se montrer très dur et virulent quand il se sent trahi. Et ces derniers jours, il n’était pas loin d’éprouver ce sentiment. »

« La poitrine de Zlatan élimine les Verts, résume Le Progrès. Le géant suédois a éliminé les Verts en marquant le but décisif à la 72e minute d’un quart de finale de Coupe de la Ligue qui a été arrêté 10 minutes en raison de projectiles lancés sur la pelouse. »

« Puisqu’il faut peut-être renoncer à l’idée de les retrouver aussi flamboyants qu’avant, puisque cette saison-là, pour eux, va probablement se jouer beaucoup plus sur le caractère que sur le talent, il convient de donner à cette victoire à Saint-Étienne sa juste dimension : un temps fort de la saison des Parisiens, estime L’EquipeAu fond, ce n’est pas une qualification que ces doubles champions en titre, aimantés par des objectifs un peu plus luxueux, étaient partis chercher, hier soir. Ce déplacement leur servirait d’abord à mesurer ce qu’il leur reste d’orgueil, de confiance et, quelque part, de l’envie de partager une ambition collective. Sur tous ces points, les voyants sont un peu plus teintés de vert qu’hier matin. (…) Répétons-le, Paris n’a pas brillé, mais il a aussi éteint globalement son adversaire. Les défaites n’ayant d’intérêt que si des leçons en sont tirées, le PSG a prouvé hier qu’il était au moins ressorti avec quelques idées remises en place de son sidérant échec à Bastia. Le retour de Verratti dans le onze de départ a diffusé une énergie positive autant que la présence, même comme latéral droit, du très souvent irréprochable Marquinhos. Matuidi, inconstant cette saison, a été un bon combattant. Il y avait chez Thiago Silva l’amorce d’un sursaut également perceptible chez Douchez, malmené à Bastia et auteur, en fin de match, d’un arrêt colossal. Et Ibra, en marquant de la poitrine, est redevenu ce saint à qui se vouer dans les moments difficiles. Paris ne donne pas le sentiment de pouvoir à nouveau découper tout ce qui bouge sur son passage. Mais il a déjà su, hier soir, se raccrocher aune branche qui ressemblerait à une âme ».

Les notes de L’Equipe : Douchez 6 / Marquinhos 6 / Silva 6 / Luiz 6 / Digne 4 / Motta 6 / Verratti  7 / Matuidi 6 / Lucas 5 / Pastore 5 / Ibrahimovic 5.

Les notes du Parisien : Douchez 7 / Marquinhos 5.5 / Silva 5.5 / Luiz 5 / Digne 4 / Motta 4.5 / Verratti  6.5 / Matuidi 4.5 / Lucas 4.5 / Pastore 4.5 / Ibrahimovic 6.

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