La revue de presse PSG : Emery, tensions, Verratti, Draxler…

Vu et lu dans la presse hexagonale au sujet du PSG ce vendredi 26 mai 2017.

« À l’issue du match nul concédé contre Caen (1-1), les vice-champions avaient tenu à célébrer Maxwell. Tous s’étaient réunis sur la pelouse, sauf un. Unai Emery n’avait pas digéré l’égalisation des Normands et pestait encore. Mais c’est son absence que ses joueurs, eux, n’ont pas digérée. Certains en ont longuement parlé cette semaine, en des termes peu amènes, affirme L’Equipe. Pour eux, le coach, qui n’était pas non plus présent au restaurant avec ses joueurs plus tard dans la soirée, aurait dû être en mesure de faire la part des choses. Si ce sujet a pris de la place dans les discussions, un autre l’a relayé en partie, mardi : les perquisitions aux domiciles d’Angel Di Maria et de Javier Pastore. Ce ne sont pas des conditions idéales pour préparer une finale de Coupe de France. […] Une victoire ne serait peut-être pas célébrée comme d’habitude. Le club, qui avait prévu d’organiser une fête en cas de succès, samedi, aurait changé d’avis cette semaine. Certaines sources expliquent que cette décision ferait suite aux attentats à Manchester. D’autres la justifient par une volonté de la direction de ne pas étirer davantage cette saison. »

« Pour la première fois de la semaine, Marco Verratti a participé à l’intégralité de la séance collective, lit-on également. Ce soir, les Parisiens effectueront une dernière séance à huis clos, au Stade de France. Equipe probable : Areola ou Trapp – Aurier, Marquinhos, Thiago Silva, Maxwell – Verratti, Motta ou Rabiot, Matuidi – Di Maria, Cavani, Draxler. »

« Depuis quelques semaines, Draxler traverse souvent des matchs de façon très discrète, comme à Saint-Etienne (5-0) où son but en fin de match a permis de relever une prestation particulièrement terne, juge Le ParisienUne habitude pour un joueur capable de disparaître par périodes dans une rencontre et qui sortait d’une demi-saison quasi blanche à Wolfsburg. L’Allemand devrait être titulaire pour sa première finale et son premier match au Stade de France sous les couleurs du PSG. L’occasion de confirmer qu’il est bien l’homme des premières. Depuis son arrivée à Paris le 3 janvier, Julian Draxler a toujours soigné ses débuts. »

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