Revue de presse PSG : Reims, Cavani, Neymar, CUP, Jordan, Dagba 2023, Nice boycotté, notes…

Vu et lu au sujet du PSG ce jeudi 27 septembre 2018 dans la presse hexagonale.

« Habitué à rater la première période de ses matchs domestiques, le PSG n’a cette fois failli que dans son entame pour offrir ensuite un spectacle total, remarque Le Parisien. La maestria parisienne rappelle que rien dans les joutes hexagonales ne le prépare à ce qui l’attend en Ligue des champions et que le Championnat de France, redevenu sérieux dans son podium (Paris, Lyon, Marseille), est déjà joué. Mais tout ça, on le savait. Ce que l’on a découvert, c’est l’incroyable talent des jeunes issus de la formation. […] Cavani et Neymar semblent avoir tourné la page du pénaltygate. Il semble donc que la solution s’appelle Neymar, avec l’adoubement de Cavani, même s’il sera intéressant d’observer l’attitude du duo lorsque l’exercice se représentera. Quoi qu’il en soit, ces deux-là ont singulièrement pacifié leurs relations. Jusqu’à étaler une complicité naissante à grand renfort de tapes amicales. »

« Des querelles récurrentes entre supporters parisiens commencent à sérieusement inquiéter l’état-major du PSG, lit-on également. Samedi dernier, une rixe a éclaté dans le parcage des ultras (un membre des Microbes a frappé un responsable d’un des groupes du CUP). A Liverpool, un autre leader a été pris à partie. Le club, qui entretient des relations constructives avec le CUP, craint que ses leaders aient perdu toute autorité sur certains de leurs membres. »

Les notes du Parisien : Buffon 6 / Meunier 6 / Thiago Silva 6 / Marquinhos 6 / Nsoki 5.5 / Rabiot 5 / Verratti 6 / Neymar 7 / Draxler 3 / Diaby 7 / Cavani 7

Les notes de L’Equipe : Buffon 6 / Meunier 6 / Thiago Silva 6 / Marquinhos 6 / Nsoki 7 / Rabiot 6 / Verratti 7 / Neymar 7 / Draxler 5 / Diaby 8 / Cavani 8

« Est-ce la présence de sa majesté Michael Air Jordan, mais toujours est-il que Neymar et ses coéquipiers ont pris de l’altitude hier soir… Pas seulement au tableau d’affichage mais dans leur production générale, écrit L’EquipeMême si un alléchant PSG-Lyon se profile le 7 octobre, son résultat ne changera rien à l’affaire. En cas d’exploit, il indiquerait seulement que l’OL est le dauphin désigné. D’ici là, le PSG de Tuchel aura peut-être accroché de nouveaux records à son début de saison français. »

« Les premières interrogations à son sujet affleuraient, hier, Cavani a apporté des premiers éléments de réponse, ajoute le quotidien sportif. Malgré tout, le Matador n’a pas dissipé tout le brouillard qui enveloppait son début de saison. D’abord, dans son jeu de remises, ensuite dans son entente avec Neymar et Mbappé. Lorsque les trois évoluent ensemble dans des rendez-vous un peu plus compliqués à aborder, le N et le M ne trouvent quasiment jamais le C de la MCN. Peut-être, aussi, que les ego de ces joueurs prennent le pas sur le rendement collectif. Ce sera là le boulot de Tuchel de parvenir à les faire jouer ensemble à défaut de s’aimer. Parce que, si le PSG veut retrouver le printemps en Ligue des champions, il aura besoin que son Matador y soit aussi efficace qu’en L1. »

Ce journal a remarqué la banderole à l’entrée des joueurs, en présence de Michael Jordan : « C’est un maillot de foot ou de basket ? » Enfin, Damien Degorre signale que Colin Dagba (20 ans) et le PSG « sont tombés d’accord sur une prolongation de contrat jusqu’en 2023 assortie d’une revalorisation salariale. Suivi de près par le RB Leipzig, il a privilégié le club de la capitale. »

L'Union

Nice-Matin évoque le « quota de places supplémentaires débloqué » à quelques jours du Nice-PSG (samedi à 17h15).« Suite à la publication d’un arrêté préfectoral limitant leur nombre, les fans parisiens ont décidé de ne pas se déplacer. En conséquence, des places « condamnées » pour des questions de sécurité sont libérées au prix de 26€ (Ray) et 35€ (Garibaldi). »

« Il ne fallait pas arriver en retard pour les supporters rémois hier au Parc des Princes. L’émotion de voir son équipe mener à Paris, là où elle n’a plus gagné depuis 42 ans, n’a pas de prix. Surtout lorsque le plaisir ne dure que trois minutes, ironise L’Union. Le Stade n’a pas fait exception à la règle parisienne. Il est venu, a vu et a été vaincu. Paris est magique, paraît-il. Paris est impitoyable, à coup sûr. Hier, le Stade a mesuré ce que leçon de réalisme voulait dire. »

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