Marquinhos : « J’ai encore envie de me donner à fond pour ce maillot »

Lors du Trophée des Champions remporté contre Marseille (2-1), Marquinhos a disputé son 300e match sous le maillot du PSG. Le capitaine parisien est le neuvième joueur le plus capé de l’histoire des Rouge & Bleu en compagnie de son ancien coéquipier Edinson Cavani (301 matches) samedi à Angers (0-1). Arrivée au PSG à l’été 2013, Marqui est l’un des piliers du PSG dont il est le capitaine depuis cet été et le départ de Thiago Silva. Le défenseur brésilien (26 ans) est fier d’avoir atteint ce cap symbolique avec son club. « C’est une fierté, et un honneur. Je pense que pour un joueur, c’est un grand plaisir de pouvoir atteindre ce genre de cap, c’est symbolique de toute l’ambition qu’on peut avoir quand on rejoint un club, avoue Marquinhos dans une interview accordée à PSG TV. C’est aussi une preuve d’une certaine régularité, qu’on grandit en tant qu’homme et athlète. 300 matches, c’est difficile à atteindre, et j’ai le sentiment du devoir accompli. Mon parcours parisien ?  Beaucoup de choses ont changé depuis mon arrivée. Je suis marié, je suis papa et je suis capitaine de l’équipe ! Cela fait 8 ans maintenant bientôt que je suis ici, et atteindre 300 matches à 26 ans… On peut penser que je peux encore jouer beaucoup de matches, et j’ai encore envie de me donner à fond pour ce maillot.« 

Marquinhos qui est revenu sur son moment préféré en tant que joueur du PSG, la finale de la Ligue des Champions. « Il y en a tellement. J’ai beaucoup de très beaux souvenirs, que ce soit en Ligue 1, ou lors de finales. Disputer une finale de Champions League avec le Paris Saint-Germain, même si nous avons perdu, ça reste quelque chose d’incroyable. Il y a eu d’autres matches, où j’ai aussi été meilleur, mais c’était une sensation extraordinaire de pouvoir amener Paris en finale de la Champions League.« 

L’ancien romain qui a conclu sur ses buts qui l’ont le plus marqué (27 depuis son arrivée). « J’en mets deux au Vélodrome contre Marseille. Ce sont toujours des matches particuliers, donc c’est une belle sensation de marquer dans un Classique. Et puis le but contre l’Atalanta, c’est un des moments les plus forts de ma carrière ! On avait fourni beaucoup d’effort, on était fatigué, j’avais des crampes, Thiago me dit de rester devant comme j’étais fatigué. Le ballon me revient dessus, je marque et nous sommes libérés… C’était fou, pour nous, pour les supporters, pour tout le monde.« 

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