Revue de presse PSG : Stuttgart, Hernandez, Enrique, Barcola…

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce mercredi 29 janvier 2025. Le match contre Stuttgart, Lucas Hernandez pourrait connaître sa première titularisation en Ligue des champions depuis son retour, Bradley Barcola prêt à défendre sa place face à Kvara, la culture du secret de Luis Enrique…

Une L'equipe 29 01 2025
Screenshot

L’Equipe évoque le match du PSG contre Stuttgart en Ligue des champions. Le quotidien sportif explique que si le PSG peut se contenter d’un match nul pour la qualification en barrages de la Champions League, il voudra repartir avec les trois points d’Allemagne pour se qualifier dans une meilleure position. Contre le VFB, le club de la capitale devra étaler « la même intensité, le même mouvement, la même manière de marcher sur son adversaire que contre Manchester City, et se qualifier ce soir pour les play-offs de la Ligue des champions, en accédant au meilleur classement possible. » Face à Stuttgart, il serait peu compréhensible que les Parisiens retrouvent la médiocrité, ce soir, par-delà un niveau d’efficacité qui peut les faire souffrir à tout moment, avance le quotidien sportif. Ce dernier explique qu’avec un succès, le PSG peu encore espérer une place proche du Top 16. « Le PSG au fond, a à la fois besoin de gagner pour confirmer son grand mercredi au Parc des Princes, effacer les doutes et sa part de brouillard, et se retrouver sur la même ligne que les autres, avec certes un détour par les play-offs », conclut L’Equipe

Screenshot

Le quotidien sportif fait également un focus sur Bradley Barcola. L’Equipe indique qu’à la mi-janvier, certains observateurs racontaient que le numéro 29 du PSG n’affichait pas le plus grand des sourires à l’évocation du transfert imminent de Khvicha Kvaratskhelia. « Pour autant, les dirigeants n’ont pas cherché à rassurer l’attaquant des Bleus. Et pour cause : ce renfort vise bel et bien à densifier la concurrence. » L’Equipe explique que Luis Enrique est satisfait de la saison d’un joueur dont il loue la progression. Le coach du PSG est resté en soutien en interne lorsque Bradley Barcola a passé des mauvaises passes, comme contre Newcastle la saison dernière ou cet hiver. « Le recrutement de Kvara en janvier n’obéit pas à une volonté précise de piquer son buteur. La preuve, le PSG voulait déjà prendre l’ex-napolitain cet été. Dans l’esprit du coach et de Luis Campos, c’est un choix quantitatif, mais surtout qualitatif. Il s’agit d’apporter un profil différent, d’amener la variété, de la créativité, à l’animation parisienne. » L’Equipe explique que Bradley Barcola ne se sent pas fragilisé et encore moins abattu de l’arrivée de Kvara. « Il est conscient qu’une telle adversité est naturelle dans un club comme le PSG et il est motivé par le challenge. » Il ne s’imagine pas un avenir sur le banc. Le quotidien sportif conclut en expliquant que Bradley Barcola est dans les temps de passage imaginés par l’état-major du PSG l’été dernier. Comme pour Ousmane Dembélé, les dirigeants ont en effet fait passer le message que le duo devait reprendre le flambeau pour remplacer la quarantaine de buts de Kylian Mbappé

Screenshot

L’Equipe évoque aussi les avant-match de Luis Enrique. Le quotidien sportif explique que depuis son arrivée au PSG, il cultive une forme de secret absolu. « Dans les jours ou les heures qui précèdent le match, les joueurs restent dans un flou quasi total quant à l’équipe alignée. » Ce mystère répond à une double volonté. « D’abord celle de conserver, jusqu’au bout, tout son groupe sous pression. Mais aussi de ne donner aucun indice à l’adversaire », indique le quotidien sportif. Un culte du secret teinté d’une forme de paranoïa qui ne fait pas l’unanimité. Cet automne, un cadre n’a que très modérément goûté apprendre qu’il n’était pas dans le groupe, quelques heures avant la publication officielle, via un salarié qui n’exerce pas de fonction dans le secteur sportif, lance le quotidien sportif. Nasser al-Khelaïfi peut connaître les intentions de son entraîneur. Il y a quelques mois, c’est via le président du PSG que l’agent d’un joueur a appris que son client ne commencerait pas une affiche. Luis Enrique sème des pièges jusqu’au bout, souligne L’Equipe. Au moins deux fois la saison dernière en Ligue des champions, la mise en place effectuée à l’échauffement ne correspondait finalement pas à l’équipe alignée au coup d’envoi.

Screenshot

De son côté, Le Parisien évoque aussi la rencontre entre le PSG et Stuttgart en Ligue des champions. « Comme la saison passée, le PSG joue sa survie européenne lors du dernier match de la phase préliminaire de la Ligue des champions, celle d’avant les matchs couperets, eux aussi à la vie à la mort. » En battant Manchester City (4-2) aux termes d’une folle remontada avec quatre buts en 35 minutes, l’équipe de Luis Enrique se donne le droit à un dernier effort contre Stuttgart ce mercredi (21 heures) pour basculer sur les playoffs au goût de 16e de finale. Et on souhaite qu’elle ait gardé une pincée de ces émotions qu’elle a ventilées dans un Parc des Princes en transe. Paris ne serait, alors, ni le seul gros ni l’unique riche à participer à ce tour de rattrapage, lance le quotidien francilien. « Un petit nul qualifierait le PSG, et même les deux équipes, mais le club de la capitale aurait tort de calculer alors qu’une victoire lui proposerait un meilleur tirage pour la suite de la compétition. Surtout, elle indiquerait qu’après avoir flirté avec l’indigence, un ratio occasions-buts plus digne d’une National 3 que d’un pensionnaire nanti de la C1, Paris terminerait par neuf points en trois sorties après avoir cumulé quatre unités en cinq rencontres. Comme s’il arrivait lancé, gonflé de confiance et un poil irrésistible, pour son prochain adversaire européen. » Vraiment, Paris aurait tort de se priver de rêver, d’avancer, de persévérer maintenant qu’il a renseigné sur ses ressorts intimes et cette poésie du jeu qu’il peut réciter par cœur, l’organe qui résume le mieux ses qualités désormais. C’est le moment de battre, tout court, mais aussi Stuttgart, conclut Le Parisien.

A voir aussi : LdC : Tous les scénarios possibles de la dernière journée pour le PSG

canalsupporters.com
Screenshot

Le quotidien francilien fait également un focus sur Lucas Hernandez. Huit mois après sa grave blessure au genou contre le Borussia Dortmund en demi-finale aller de la Ligue des champions, le numéro 21 du PSG pourrait connaître sa première titularisation en Champions League ce soir contre Stuttgart. Même s’il était présent en conférence de presse hier, cela ne lui garantit pas une place de titulaire, avance Le Parisien. « À 24 heures du coup d’envoi d’un rendez-vous qui décidera de l’avenir du PSG sur la scène européenne, Hernandez sait, comme l’ensemble de ses partenaires, qu’il ne peut être sûr de rien. » Favori pour remplacer Nuno Mendes dans le couloir gauche, l’international français a très peu joué dans le couloir gauche depuis son retour à la compétition le 10 décembre dernier. En effet, il a joué une trentaine de minutes à ce poste contre Lyon puis à Monaco avant la trêve. « Titularisé ensuite à quatre reprises, il n’a disputé qu’un match complet, contre Espaly, et a dû se contenter d’une heure de jeu à chacune des trois dernières sorties parisiennes en Ligue 1. À chaque fois en défense centrale. » 





Articles similaires

Bouton retour en haut de la page