Revue de presse PSG : Nantes, L1, Paredes, Pochettino…

Vu et lu dans la presse hexagonale au sujet du PSG ce dimanche 14 mars 2021, jour de match de Ligue 1 au Parc des Princes contre le FC Nantes (19e). Ce sera sans Juan Bernat ni Neymar (reprise) ou Moise Kean (Covid). Autres défections : Ander Herrera (gêne musculaire à la cuisse) et Alessandro Florenzi (gêne à l’adducteur droit).

Le PSG « aborde une séquence clé, avec deux fois la réception de Lille et un déplacement à Lyon, qui doit lui permettre d’asseoir son autorité sur le plan national, à condition de ne pas se louper contre Nantes, publie l’AFP. « En cas de faux pas du LOSC, les Parisiens pourraient même retrouver une place de leader. Les joueurs de Pochettino devront jouer sans Neymar. Le PSG semble vouloir ne prendre aucun risque pour sa superstar, alors que se profile une séquence chargée. « C’est difficile de prévoir une date de retour, car la récupération est différente selon le joueur. Il n’y a pas de rechute. Nous sommes contents de son évolution, nous espérons qu’il reviendra vite avec l’équipe », a expliqué Pochettino. »

« Incapable de tenir la distance à Nîmes et contre Reims, deux étapes de plaine, le FC Nantes va devoir changer de braquet pour ne pas rentrer bredouille du Parc, où il n’a pris aucun point en huit ans face au PSG », constate Ouest-France.

Dans le JDD, Leandro Paredes veut retenir l’essentiel après le PSG-Barça : « Le plaisir de la qualification, car c’était essentiel pour le club. La qualité du match aller a été très élevée. Au retour, nous avons tenté une approche différente et tout ne s’est pas passé comme on voulait. Parfois, il faut s’adapter et faire le dos rond. C’est une vertu de savoir souffrir, car on n’a pas toujours le contrôle. »

Du côté de L’Equipe, on parle des ajustements de Mauricio Pochettino dans sa méthode : « Arrivé en milieu de saison, en remplacement de Tuchel, il a dû s’adapter aux conditions particulières d’un groupe aux états de forme très disparates. Encore plus que dans le cas d’un autre technicien, il faudra attendre sa préparation estivale – réputée pour être la plus intense de la scène européenne – pour fixer avec plus de précision les axes et les effets de son projet de jeu. […] Conscient du caractère singulier du PSG, Pochettino a effectué des adaptations. D’abord dans sa communication où, s’il a ouvert des comptes sur les réseaux sociaux, il se montre particulièrement prudent. Intelligemment, le staff a su faire évoluer certaines de ses habitudes dans son rapport au groupe. La principale est la disparition de la mise en place la veille des matches. Lors des trois premières semaines à Paris, le staff était resté fidèle à cette séance où les titulaires étaient réunis et travaillaient ensemble. Désormais, l’effectif entier est mixé. Ce changement répond à une volonté de garder secrets ses choix le plus longtemps possible et éviter les fuites. Autre adaptation significative, l’absence de mises au vert. Aux Spurs, c’était quasiment la norme. À Paris, c’est l’exception. »

Compte tenu la perspective des deux chocs à venir (le LOSC mercredi en Coupe de France et dimanche à Lyon en L1), Mauricio Pochettino « pourrait ménager certains éléments ce soir. Verratti, apparu fatigué en seconde période contre Barcelone, pourrait souffler et voir Rafinha le suppléer en milieu offensif dans le 4-2-3-1 habituel. […] Au poste de latéral droit, Dagba pourrait être préféré à Kehrer et Diallo, excellent mercredi au contraire de Kurzawa, à gauche. Devant, Di Maria devrait débuter avec Icardi et Mbappé, voire Sarabia.« 

« Quatre jours après avoir réglé ses comptes avec le Barça, le PSG devra savoir gérer ses émotions pour ne pas se faire piéger face à Nantes, un adversaire facile. A priori… », commente Le Parisien. Car « Paris semble marquer le coup après chaque moment d’euphorie depuis le début de saison. Barcelone, Nantes, Lille, Lyon… Sur le papier, les Canaris  ont tout d’un intrus dans cet enchaînement de chocs. Le passé invite à penser que l’équation n’est pas aussi simple et que les profils les plus inoffensifs ne sont, pour Paris en tout cas, pas les moins dangereux. Marquinhos et sa bande, qui se sont lancé le défi de remporter les 12 derniers matchs de L1, en ont-ils fini avec leurs mauvaises habitudes ? « Le PSG doit toujours se mettre en tête qu’il joue chaque compétition et chaque match pour les gagner », a assuré Pochettino hier. A ses joueurs de montrer qu’ils ont bien reçu le message. »

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