Revue de presse PSG

Vu et lu au sujet du PSG ce dimanche 11 décembre 2016 dans la presse hexagonale.

« Nice est en position de distancer le PSG en cas de victoire au Parc. Un scénario qui enfoncerait un peu plus le PSG made in Qatar dans une crise automnale sans précédent, lance L’Equipe. En abandonnant une nouvelle fois le 4-2-3-1 pour un 4-3-3 avec Matuidi en position d’ailier gauche, Emery entend bloquer le côté droit niçois. […] Que Al-Khelaïfi ait autant revendiqué la paternité du choix d’Emery, cet été, l’oblige à le protéger et à lui témoigner sa confiance jusqu’au bout. Reste à définir où commence le bout. Un succès, ce soir, recouvrirait la braise naissante. Toute autre option déplairait fortement à Doha où, quand un entraîneur ne plaît plus, on ne se prive pas de le signifier. Carlo Ancelotti et Laurent Blanc pourraient en témoigner. Il ne sera cependant pas facile d’en changer à cette période de la saison même si, dans l’entourage de Patrick Kluivert, certains verraient bien le Néerlandais, un jour, dans le costume. »

« Décevants ou carrément fautifs ces derniers temps, quatre joueurs du PSG ont l’occasion de se racheter, poursuit le quotidien sportif. Areola doit se montrer à nouveau décisif pour tourner la page et justifier le choix d’Unai Emery de le préférer à Trapp. Le choc face au leader arrive comme une occasion idéale. […] Marquinhos traverse le premier petit trou d’air de sa jeune carrière. À lui de montrer que ce n’était qu’un bref moment d’égarement et de confirmer qu’il a bien les épaules. […] Pointé du doigt depuis le début de saison, Di Maria incarne l’incapacité récurrente de ce PSG post-Zlatan à matérialiser sa domination et les lacunes de son animation offensive. […] Verratti n’a pas encore retrouvé sa pleine mesure. Sa facilité technique mais aussi sa protection de balle font de lui un pion essentiel de l’équilibre et du jeu de transition des Parisiens. »

Le Parisien propose un autre quatuor sous pression avec Unai Emery en lieu et place de Marco Verratti : « Personne ne remet en cause les qualités du coach basque, vainqueur de trois Ligues Europa. Il est exigeant, précis et apprécié de ses joueurs. En revanche, son adaptation au plus haut niveau pose question. A-t-il l’étoffe pour entraîner le PSG, l’un des dix plus gros clubs d’Europe ? Il peine à imposer son style, son équipe ennuie et la concurrence, érigée en principe de base, se voit peu. La situation deviendrait invivable pour lui en cas de revers, pas immédiatement mais très très vite. Heureusement pour lui, peu de techniciens sont sur le marché. En 2012, après une défaite à… Nice, Carlo Ancelotti avait tout repris en main et sauvé sa tête. A Emery de jouer ! […] Bien sûr, à la veille d’un match capital, les principaux décideurs répètent à l’envi qu’Emery n’est pas menacé. »

« Le PSG version QSI n’a jamais autant semblé à portée des Aiglons, estime Nice-Matin. Les plus audacieux oseront même les placer en position de favoris. »

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