Revue de presse PSG

Vu et lu dans la presse hexagonale au sujet du PSG ce mercredi 9 novembre 2016.

« En quatorze jours, les relations entre Marco Verratti et Unai Emery ont connu un réchauffement sensible, avance L’Equipe. Fraîches le 23 octobre au soir de PSG-OM, lorsque le milieu parisien manifesta son mécontentement lors de son remplacement et le fit savoir à son entraîneur, elles sont redevenues beaucoup plus chaleureuses dimanche. « Je sais que je ne fais pas un grand début de saison mais je remercie le coach, il m’a écouté et a su me faire confiance ». Cette sortie médiatique franche et lucide de l’un des éléments majeurs du vestiaire parisien vient calmer un peu les débats. Ce soir-là, le remplacement de Verratti résultait d’une incompréhension entre les staffs technique et médical. Ce dernier donna comme information à Emery que l’Italien ressentait des douleurs, d’où son changement. Ne comprenant pas ce choix, le joueur contesta sur le coup. L’affaire avait viré au psychodrame, les jours suivants, avec les déclarations agacées de l’agent de l’international qui, en substance, avait lâché que la France ne méritait pas Verratti et qu’il demanderait à partir en fin de saisonLa tension a finalement laissé place à la raison. »

« En équipe de France, Adrien Rabiot pourrait être surnommé le troisième mousquetaire d’un milieu de terrain qui, a priori, n’en comptera que deux. Mais, pour l’heure, le jeune Parisien ne se soucie guère d’une place de titulaire, écrit le quotidien sportif. Il dit juste « être vraiment très heureux » de figurer dans la liste des 23 retenus par Didier Deschamps et vient d’abord « pour apprendre », « même si j’ai un autre statut en club », précise-t-il. Alors Rabiot apprend. Un peu plus tôt, lors de son premier point presse en tant que joueur de l’équipe de France, Rabiot n’avait pas hésité, non plus, à afficher son tempérament. À une question sur ses « caprices » passés de jeune joueur du PSG, il répliqua sans détour : « Peut-être qu’avoir du caractère c’est être capricieux pour vous. Moi, ce n’est pas comme ça que je le vois. » À une autre interrogation, sur sa relation tumultueuse avec son club formateur, il rétorqua : Tout n’est pas toujours rose. Des fois, je me prends la tête avec mes frères, mais je les aime. Aujourd’hui, je suis vraiment attaché à Paris. »

« Après 5000 km et six heures de vol dans un avion affrété par le club, les filles du PSG sont arrivées aux confins de l’Europe et de l’Asie en fin de journée avant de prendre leurs quartiers dans un hôtel grand luxe, rapporte Le Parisien. Demain, à 15 heures (10 heures en France), les joueuses de Patrice Lair affronteront les Kazakhs de BIIK Kazygurt en 8e de finale aller de Ligue des champions. Malgré un groupe déjà limité et rajeuni, le coach a décidé de se priver de Marie-Laure Delie et Sarah Palacin. »

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