Revue de presse PSG : Mbappé, Roures, Buchheit

Vu et lu au sujet du PSG ce mercredi 3 juin 2020 dans la presse hexagonale.

Le responsable performance du PSG a été remercié, rapporte L’Equipe : « Les tensions cette saison entre le staff technique et le secteur performance du PSG, en raison notamment des nombreux joueurs blessés, viennent de trouver un prolongement. Martin Buchheit, le responsable performance, a été remercié. Il est remplacé par un technicien italien venu du centre hospitalier Aspetar, au Qatar. »

On peut lire aussi dans le journal sportif un entretien avec Jaume Roures, le patron de Mediapro. A cette question « Vous avez été critique avec Nasser al-Khelaïfi sur la façon dont beIN Sports a stoppé ses versements, sur son rôle de négociateur auprès des  diffuseurs… », Jaume Roures répond : « Ce n’était pas une critique de Nasser, mais de ceux qui ont permis de le nommer pour négocier avec lui-même. Du côté de Nasser, c’était intelligent… Moi, j’aimerais aussi que quelqu’un me dise : « Tu dois aller négocier avec Mediapro le contrat. » Et il poursuit : « Je connais Nasser depuis vingt ans. On travaille ensemble en Espagne, en France, en Turquie, aux États-Unis, à Doha (au Qatar)… Je ne crois pas que notre rapport personnel et professionnel a changé. Un manque de suspense en L1 ? Le problème de la France, ce n’est pas la domination du PSG, mais les transferts. Les clubs vendent leurs joueurs à l’étranger, ce qui est nécessaire pour leur économie, et s’affaiblissent. »

Les affaires George Floyd ou Gabriel… Kylian Mbappé utilise sa voix sur Twitter et Instagram pour prendre position. Une volonté du joueur du PSG car « personne n’interfère dans cette communication », écrit Le Parisien. Ses posts « ne répondent qu’à une seule ligne de conduite : son instinct. […] Il n’y a aucun virage politique ou social de sa part, juste l’envie de partager sa sensibilité. Il réagit à l’atroce mort de Floyd parce que c’est plus fort que lui. Il y a sans doute plus de coups à prendre qu’à gagner dans ce genre de commentaires, mais il ne s’en préoccupe pas. […] Il ne raconte jamais sa vie privée et on peut facilement imaginer que son silence pendant le confinement n’était pas anodin alors qu’il a été durement touché. Sans compter que la période de réclusion, douloureuse pour beaucoup, ne se prêtait pas forcément à s’épancher.« 

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