Revue de presse PSG : Montigny-le-Bretonneux, Ramos, Kolo Muani…
Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce vendredi 12 janvier 2024. Montigny-le-Bretonneux prêt à accueillir le futur stade du PSG, les doutes de Luis Enrique sur Ramos et Kolo Muani, Mbappé qui reverse 30% de ses bénéfices à ses associations…
Dans son édition du jour, Le Parisien évoque la possibilité pour le PSG de construire un nouveau stade si la mairie de Paris ne souhaite pas vendre le Parc des Princes. Un projet de construction de nouveau stade qui s’annonce très difficile pour Jacky Lorenzetti, président d’honneur du Racing 92, qui a mené à bien le projet de construction de Paris La Défense Arena à Nanterre. « Il est très compliqué de trouver un endroit proche de Paris pour de telles constructions. J’avais visité le site d’Évry, dans l’Essonne, où la Fédération française a voulu un temps bâtir son stade. Ce n’était pas envisageable en termes de réseaux routiers et de transports en commun. Nous aurions couru à la catastrophe. La seule autre possibilité pour nous, c’était du côté d’Orly (Val-de-Marne), qui était mieux desservi. Mais l’idéal, c’était La Défense. Cela veut-il dire que le PSG aura du mal à trouver un point de chute s’il quitte leParc des Princes ? Oui. Et d’ailleurs, je n’y crois pas trop. Je parle en toute humilité, je n’ai aucune leçon à donner à qui que ce soit et je ne veux pas m’immiscer dans un dossier que je ne connais pas mais je pense que le PSG restera au Parc des Princes. La Ville de Paris défend son intérêt, le club aussi. Mais ils finiront par s’entendre. Si le PSG quitte le Parc, que va devenir ce stade ? Le dialogue semble pourtant rompu…Cela peut changer. Le PSG a les moyens de ses ambitions mais il va être confronté à une équation insoluble s’il part, celle des transports. Il va être obligé de rester et d’améliorer le Parc. Il y a de sérieuses contraintes, car le périphérique passe sous le stade. Si le club veut agrandir la jauge de 20 000 places, ce sera très coûteux, à peu près autant que de construire un nouveau stade, et complexe, mais cela doit être réalisable. Et ce sera sans doute plus rapide, car pour un nouveau projet il faut compter environ huit ans entre le choix du lieu et l’inauguration. »