Denisot : « Le PSG a tout pour être le numéro 1 ! »

Le PSG retrouve la Coupe de France ce vendredi en affrontant la Berrichonne Châteauroux (21h00). Un match particulier pour Michel Denisot.

La Coupe de France et le Paris Saint-Germain, c’est une histoire particulière. En effet le club de la capitale est l’équipe ayant le plus remporté ce trophée dans son histoire avec 14 titres. Les Parisiens, sortis prématurément la saison passée par l’OGC Nice, voudront de nouveau aller au bout de cette compétition et soulever cette coupe mythique. Pour cela, ils devront se défaire de la Berrichonne de Châteauroux, désormais en Nationale 1 et présidée par un certain… Michel Denisot. Ancien patron mythique du Paris Saint-Germain (1991-1998), le dirigeant sera aussi au centre de l’attention. Interrogé par L’Équipe, le président du club castelroussin parle de sa relation actuelle avec le PSG mais aussi avec Nasser Al-Khelaifi.

Sa vision sur le PSG

« Le PSG a tout pour être le numéro 1, il n’a plus qu’à gagner la Ligue des champions. Il possède dans son effectif un champion du monde (Messi), un finaliste (Mbappé), un 4e(Hakimi), c’est une équipe de Coupe du monde. Si le PSG était une nation – il l’est presque vu toutes les nationalités qui le composent -, il aurait pu gagner le Mondial. S’il gagne la Ligue des champions, le PSG sera le plus grand club du monde. Il peut le devenir cette saison.« 

Une bonne relation avec Nasser Al-Khelaifi ?

« Une bonne, on échange des messages courtois comme après le tirage. Il m’a dit que ce serait un très grand match. Je le crois (sourire). Mais je n’ai pas de liens particuliers avec le club. Il y a longtemps que je ne me suis pas rendu au Parc. Jean-Claude Blanc (le directeur général délégué sur le départ) m’a toujours dit que si je souhaitais venir, j’étais le bienvenu.« 

Pas assez d’anciens au club ?

« Il pourrait y avoir plus d’anciens comme dans d’autres clubs. Les anciens sont régulièrement invités au Parc, après si c’est pour trouver un boulot, c’est autre chose. On est des acteurs dans une entreprise à un moment donné et on pense parfois que l’entreprise c’est nous, alors que non. Quand Canal avait racheté le club en 1991, alors qu’il était menacé du dépôt de bilan, on avait collaboré avec l’ancienne équipe dirigeante. Le club était ouvert. Chacun son fonctionnement.« 

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