
Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce vendredi 25 juillet 2025. La prolongation de Gianluigi Donnarumma toujours en discussions, L’avenir de Lucas Chevalier lié à celui de Donnarumma…
Dans son édition du jour, L’Equipe évoque l’avenir de Gianluigi Donnarumma. Sous contrat jusqu’en juin 2026 avec le PSG, le portier italien négocie une prolongation de contrat depuis plus d’un an avec ses dirigeants. Attendu au Campus de Poissy le 4 août pour la reprise, l’enjeu pour l’ancien Milanais et le club de la capitale consistera à dénouer sa situation contractuelle. Il ne paraît pas concevable, pour la direction parisienne, encore marquée par le précédent Kylian Mbappé, parti libre au Real Madrid l’été dernier, de laisser son gardien numéro un arriver dans sa dernière année de contrat avec le risque de le laisser partir libre dans un an, avance le quotidien sportif. « Initialement, la décision de prolonger ou non devait être prise après la Coupe du monde des clubs. Onze jours après la finale perdue contre Chelsea (0-3), force est de constater que le dossier n’a pas connu d’avancées significatives. La tendance ne serait pas positive alors que les premières discussions remontent à il y a un an, déjà. » Si Donnarumma, par l’intermédiaire de son agent Enzo Raiola, a affiché dès la mi-mars sa volonté de poursuivre l’aventure, le principal point d’achoppement concerne toujours les conditions fixées par le PSG. Actuellement, les émoluments de l’Italien sont estimés à 850 000 € brut par mois. Sur le modèle instauré par le conseiller sportif Luis Campos depuis 2022, le club de la capitale lui a proposé un salaire fixe et une part de variables – en fonction du nombre de matches disputés, notamment – qui peut représenter jusqu’à un tiers de ses revenus. Une formule jugée inadaptée par le camp de l’international italien, avance L’Equipe. Des discussions entre le clan Donnarumma et le PSG doivent reprendre prochainement alors que le club de la capitale se dit paré à toute éventualité. Le recrutement d’un nouveau gardien et, par ricochet, un départ de Donnarumma – ciblé notamment par Chelsea – ne sont pas à exclure si aucune issue favorable n’est trouvée, conclut le quotidien sportif.
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L’Equipe évoque aussi l’avenir de Lucas Chevalier. Le gardien de Lille, annoncé dans le viseur du PSG pourrait voir son futur lié à celui de Gianluigi Donnarumma. À deux ans de la fin de son contrat, le portier nordiste n’a rien demandé mais scrute le marché. Il a même repris avec enthousiasme, travaille de manière acharnée et personne ne pourrait imaginer son avenir incertain. « Sa situation n’est pourtant pas aussi claire que ça. Et elle dépend en grande partie de celle de Gianluigi Donnarumma, son confrère du PSG, qui n’a toujours pas prolongé à un an de la fin de son bail. » Si l’Italien venait à quitter le club de la capitale, Chevalier entrerait illico dans la course à la succession. Luis Campos, le conseiller sportif du PSG, l’apprécie depuis son passage dans le Nord (2017-2020) et aimerait en faire le remplaçant du gardien parisien, assure le quotidien sportif. Dans ce marché si spécial des numéros 1, Chevalier ne fermerait aucune porte mais n’a pas l’intention, non plus, de partir pour partir. Il se sent bien à Lille, vient même d’ouvrir un centre de padel à Calais et, à moins d’un an de la Coupe du monde (11 juin-19 juillet), il n’a aucune raison de prendre le moindre risque, de peur de perdre sa place de numéro 2 chez les Bleus. Il a d’ailleurs éconduit très vite Bournemouth qui était venu aux renseignements pour tenter de le convaincre et un autre club anglais de ce calibre. « Le PSG reste, à cet instant, la piste la plus plausible, la plus intéressante et la plus chaude. Mais elle ne dépend pas seulement de lui aujourd’hui. Chevalier ne se pose donc pas de questions existentielles avant d’entamer une saison où il pourrait prendre du galon dans son club. La direction avait évoqué une possible prolongation mais aucune discussion n’a encore été entamée. » Si le PSG venait avec 40 millions d’euros ou plus, il n’y aurait peut-être pas la même résistance du côté des dirigeants nordistes, conclut L’Equipe.
Une fois n’est pas coutume, Le Parisien n’évoque pas le PSG dans son édition du jour.