Duluc invite à « résister à toutes les facilités de langage ou de raisonnement »

Ceci donc cela ou à la suite de cela, donc à cause de cela (Post hoc ergo propter hoc), non, stop. Il y a des raisonnement faussés, des raccourcis rapides à ne pas faire. Aussi après ce PSG-Monaco (0-2). Le journaliste de L’Equipe Vincent Duluc entend lutter contre les comparaisons sans sens après la victoire du club du Rocher au Parc des Princes.

Vincent Duluc invite à « résister à toutes les facilités, de langage ou de raisonnement, dont la rumeur s’est rapidement répandue, hier soir, et qui pousseraient à relire l’exploit du PSG à Barcelone à la lumière de sa chute dominicale, inexorable et méritée dans les grandes largeurs », car « avancer que la défaite hier établit que la victoire de mardi doit tout à la faiblesse du Barça semble un peu gonflé. De tous temps les dimanches soir ont eu du mal à ressembler aux exploits européens de la semaine. » Comme chaque amateur de football le sait. « Les Parisiens ont perdu comme une équipe ordinaire, sans qualité ni orgueil, sans efforts non plus, mais cela ne signifie pas que Monaco est plus fort que Barcelone », poursuit Vincent Duluc dans l’édito du quotidien sportif. « Il n’y a pas qu’une vérité : il y en a plusieurs, et elles sont successives. L’une des vérités est que le PSG va devoir batailler pour conserver son titre, et que ce match à quatre, avec Lille, l’OL et Monaco, est une magnifique promesse de printemps. »

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