Joao Neves, le nouveau joyau du milieu de terrain du PSG
Depuis son arrivée au PSG, Joao Neves a impressionné. En deux rencontres, le milieu de terrain portugais a déjà délivré quatre passes décisives. Il s’annonce comme une recrue phare du mercato parisien.
Pendant de très nombreuses semaines, le dossier de Joao Neves a tenu en haleine les supporters du PSG. À la fin du mois de juillet, l’international portugais a officiellement été annoncé comme un joueur du PSG. Le milieu de terrain (19 ans) a signé un contrat de cinq ans, soit jusqu’en juin 2029 contre 70 millions d’euros. Sur ses deux premiers matches officiels avec le club de la capitale, il a montré pourquoi le PSG avait insisté pour le recruter, lui qui a délivré quatre passes décisives en deux rencontres de Ligue 1. Il a déjà fait mieux que la saison dernière dans le championnat portugais. Pour Le Parisien, Joao Neves donne de l’envergure à la maîtrise du PSG, avec un souci permanent de construction et d’aller vers l’avant.
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Une adaptation express
En interne, ni Luis Enrique ni Luis Campos n’en ont douté, décidés dès le printemps à foncer sur cette pépite, avance le quotidien francilien. Le staff technique du PSG vante depuis deux sorties « son énergie positive », se félicitant qu’il ait déjà tout compris aux attentes de l’ancien sélectionneur de la Roja. Son adaptation express saute aux yeux des acteurs présents vendredi soir porte de Saint-Cloud, avance Le Parisien. « Souvent comparé à Marco Verratti il partage le défaut (relatif) du petit hibou, avec trois buts en championnat seulement la saison dernière », analyse le quotidien francilien. Il n’aura pas de mal à trouver l’inspiration puisqu’il s’ébroue juste à côté de Vitinha, passé d’une première saison à deux buts à une deuxième à neuf réalisations avec Paris, changeant également de dimension en sélection portugaise. Il devra grandir dans un contexte concurrentiel avec son compatriote, Warren Zaïre-Emery et Fabian Ruiz, voire Marco Asensio ou Désiré Doué à la lutte pour les trois places de l’entrejeu, conclut Le Parisien.
