Revue de presse PSG

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse nationale ce samedi 10 décembre 2016.

« Après deux jours de repos, le PSG a retrouvé le Camp des Loges, hier, pour une séance notamment consacrée à un travail devant le but, un secteur déficient ces dernières semaines. Excepté Rabiot (cuisse), dont le forfait était connu, Unai Emery devrait compter sur un groupe quasi au complet face à Nice. Absent des deux dernières sorties en L1,
Verratti (cuisse) est opérationnel et postule à une place de titulaire. Pastore (genou), lui, s’est entraîné à part et reste incertain, rapporte L’EquipeL’équipe probable : Areola Aurier, Marquinhos, Thiago Silva (cap.), Kurzawa Verratti, Thiago Motta ou Matuidi, Di Maria ou Lucas, Ben Arfa, Lucas ou Matuidi – Cavani. »

« Quand il se trouve à Paris, Nasser Al-Khelaïfi, aux multiples casquettes, n’est pas nécessairement au chevet de son club. Pourtant, cette semaine, le bateau parisien tangue sévèrement et le dirigeant qatarien a ressenti le besoin de multiplier les réunions avec les différents responsables du secteur sportif du club, écrit Le Parisien. Entre la crise de résultats, la désaffection du public, les accusations de fraude fiscale visant deux joueurs, Paris s’avance chancelant vers la réception de Nice. Le boss a tenu à beaucoup échanger avec Unai Emery, pour cerner les causes d’une première partie de saison décevante. […] Avec Patrick Kluivert, il s’est aussi attaché à définir les besoins en termes de joueurs lors du prochain mercato hivernal. […] Dernièrement, le dossier du retour des ultras au Parc des Princes a matérialisé cette scission entre la garde rapprochée du président et les opposants à ce projet (Jean-Claude Blanc le DG délégué, Jean-Philippe D’Hallivilée le directeur de la sécurité). Comme en équipe première, les dirigeants ne jouent plus vraiment collectif. Il serait temps que le patron remette, là aussi, de l’ordre. »

« L’ambiance était comme plombée hier au centre d’entraînement, lit-on par ailleurs, même si Javier Pastore et Angel Di Maria n’ont pas semblé particulièrement accablés par le scandale. Les habituels cris de joie et les blagues qui ponctuent régulièrement les séances avaient cependant disparu. Après avoir eu des mots pour appeler à la révolte, Unai Emery a dirigé la séance avec son énergie habituelle, ses mots claquant dans l’air froid. »

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