Revue de presse PSG

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse nationale ce samedi 17 décembre 2016.

« Un déplacement à Guingamp, terre peu accueillante ces dernières années pour le PSG (1 seule victoire lors des 4 derniers déplacements toutes compétitions confondues), est loin d’être insignifiant, prévient L’EquipeS’il veut aborder 2017 sans être davantage décroché, le PSG doit achever cette année par deux succès. Les sept buts encaissés coup sur coup face à Montpellier (0-3), Ludogorets et Nice (2-2), résultats d’un bloc beaucoup moins compact, d’un repli défensif moins efficient et des états de forme incertains (Areola, Marquinhos…) ne sont pas des plus rassurants. »

« Avec déjà 22 buts marqués pour sa première saison comme attaquant de pointe du PSG, Cavani présente un rythme supérieur aux temps de passage d’Ibrahimovic, remarque le quotidien sportif. Une moyenne supérieure à un but par match, digne des meilleures gâchettes de la planète. De là à penser que ce PSG 2016-2017 est mieux armé que lorsqu’il tournait autour du néo-Mancunien, il y a un grand pas. L’omnipotence de Cavani est le signe de sa forme rayonnante mais aussi de l’ultra-dépendance parisienne à son avant-centre titulaire. L 1 et C 1 confondues, l’Uruguayen a inscrit cette saison 51 % des buts de son équipe. À cette époque de l’année, Zlatan, lui, ne pesait « que » 22 à 39 % des buts inscrits par le PSG. Il faut dire qu’il pouvait compter sur… la présence de Cavani à ses côtés. […] Autre élément à prendre en compte : leur profil bien différent. Cavani est avant tout un renard des surfaces, quand Ibra était nettement plus influent dans la construction. Un chiffre pour l’illustrer : en 112 matches disputés en L 1, Cavani totalise 7 passes décisives. Il est bien loin des 30 offrandes de Zlatan (en 122 apparitions en L 1). Le PSG a tout intérêt à lui adjoindre cet hiver une doublure et/ou un camarade de couloir apte à endosser une partie de ses responsabilités devant le but. »

« Avec 42 points, on assure le maintien. C’est l’objectif du PSG avant la trêve de récolter six unités de plus, plaisante Le ParisienEn glanant seulement trois points sur six possibles, la situation de l’entraîneur se fragiliserait à nouveau. Quatre défaites en 19 journées, ce n’est pas un rythme de champion et, comme Paris a hérité du Barça en 8e de finale de la Ligue des champions, le Basque vivrait une trêve mouvementée. Six points lui assureraient une tranquillité absolue tandis qu’un quatre sur six, un total objectivement moyen face à deux clients abordables du Championnat de France, obligerait à la réflexion et créerait un vrai casse-tête. Quant au mercato, même s’il est avancé et que certaines pistes chauffent (Draxler), un ou deux mauvais résultats peuvent le muscler et le densifier. Voici un contexte vu du PSG. Des faux pas de Nice ou de Monaco pourraient détendre l’atmosphère à Paris puisqu’il s’agit aussi d’une lutte à trois. »

« Dans un stade plein et face à toutes les stars du Paris SG, les Guingampais s’apprêtent à disputer l’un des matchs les plus excitants de leur si jolie première moitié de saison. Un rendez-vous particulier pour Kombouaré et Ikoko, mais aussi pour tout le peuple guingampais, lit-on dans Le Télégramme. Pour rêver d’exploit, il faudra avoir la chance qui, en ce 14 décembre 2014, avait accompagné les Guingampais (1-0). Notamment lorsque le lob de Cavani avait, en tout début de match, rebondi sur la transversale de Lössl. Une chance qui, tiens, tiens, fuit les Parisiens ces derniers temps. »

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