La revue de presse PSG : Angers, Pastore, pelouse…

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce samedi 4 novembre 2017.

« L’influence de Neymar est énorme, aussi bien dans l’évolution du jeu du PSG que dans son bilan offensif (11 buts et 8 passes décisives toutes compétitions confondues), au point qu’il paraît parfois omnipotent et indispensable. Comme Zlatan Ibrahimovic en son temps, Neymar est un lider maximo qui veut tout le temps jouer, jusqu’au bout, écrit L’Équipe. Difficile de parler de Neymar-dépendance, encore moins à l’échelle de la L1. Même sans leur maître à jouer, les Parisiens sont suffisamment armés pour mettre à mal n’importe quel adversaire. Les absences de ce week-end vont permettre à Emery de distribuer un peu de temps de jeu à son banc de luxe. […] Voilà trois déplacements de rang (Montpellier, Dijon, Marseille) que Paris se retrouve à la peine et il est temps de mettre fin à ce début d’habitude. »

« Cette semaine pourrait compter dans la saison de Javier Pastore, poursuit le quotidien sportif. Cette titularisation, vraisemblablement dans la ligne d’attaque avec Cavani et Mbappé, Pastore la doit déjà aux forfaits de deux de ses partenaires offensifs, Neymar et di Maria. La blessure de Thiago Motta au genou droit fait également ses affaires. Si le milieu avait été apte, Draxler aurait probablement été préféré à Pastore. […] Emery, excepté Pastore et Kimpembe, suppléant de Marquinhos, devrait aligner une équipe proche de celle qui a largement dominé Anderlecht. Ainsi, Dani Alves, Thiago Silva et Kurzawa devraient garnir la base arrière, tandis qu’au milieu le trio Verratti-Rabiot-Draxler, plutôt à son aise, devrait rempiler, avec devant lui Cavani, Mbappé et, donc, Pastore. »

« La cascade d’absents devrait permettre à Javier Pastore d’être titularisé à gauche de l’attaque, estime également Le Parisien. Unai Emery pourrait également être tenté d’aligner le même milieu de terrain que face à Anderlecht et donc de positionner Draxler au poste de relayeur gauche, à moins qu’il ne donne enfin sa chance à Lo Celso. […] Paris doit prouver sa capacité à s’imposer brillamment à l’extérieur. L’ancien coach de Séville sait que faire briller son collectif loin de son stade est un défi personnel. […] Le champ de patates de la Mosson causé par le pythium, un champignon à l’origine de la détérioration du gazon, avait considérablement gêné le PSG. Un mois plus tard, l’OM avait eu la bonne idée de ne pas arroser sa pelouse et de ne pas la tondre à ras. Un acte visant à nuire aux Parisiens, habitués à évoluer sur un véritable billard au Parc des Princes. Les Angevins vont-ils s’inspirer de leurs prédécesseurs cet après-midi ? La pelouse du stade Raymond-Kopa, classée 13e du championnat, a pourtant souffert d’une maladie en début de saison, mais les jardiniers ont réussi à la traiter et faire en sorte qu’elle conserve un certain standing. »

« Le SCO continue à batailler pour obtenir son Graal, à savoir un maintien confortable. Paris, lui, est en campagne : reconquérir son trône perdu est devenu une obsession, lit-on dans le cahier spécial de Ouest France. Le triomphe des Parisiens semble inexorable. Cette marche en avant à un coût, qui se chiffre en centaines de millions d’euros. Les battre serait un exploit ».

Articles similaires

Bouton retour en haut de la page