Revue de presse PSG : Areola & Mbappé

Vu et lu au sujet du PSG ce vendredi 7 septembre 2018 dans la presse écrite hexagonale.

Un Alphonse Areola à l’honneur après sa prestation de haut niveau (6 arrêts) à Munich lors du Allemagne-France.

« Il fallait regarder avec attention le visage d’Areola à l’échauffement hier pour prédire sa prestation du soir. Le regard tranchant, des gestes sûrs et ce mouvement constant de bras qui traduit chez lui l’intensité de l’instant. Tout était là. Bien en place, assure L’Equipe. Au moment de juger cette première, il ne faut pas craindre de poser des mots forts sur les deux arrêts du néo-international face à Müller puis Ginter. Seul un gardien de très haut niveau peut aller chercher cette frappe fuyante, enroulée. Et seul un homme en pleine confiance peut se détendre sur cette tête croisée à bout portant du défenseur. […] En cette année 2018, Areola donne vraiment l’impression de passer un cap. Et place à un Areola décisif surtout. Les réserves sur son niveau tenaient à ça. »

Si Alphonse Areola reçoit un 8/10 dans le journal sportif, Kylian Mbappé a un 6 (« Il a attendu la 15e minute avant de toucher un ballon puis a cherché à jouer en une ou deux touches de balle, vers l’avant. Son match a été émaillé de fulgurances puis de périodes plus effacées. Il n’a pas non plus été d’une grande aide pour Pavard, l’abandonnant souvent à des deux contre un »).

« Quand Thomas Tuchel hésite toujours entre lui et Buffon, cette prestation en majuscule pèsera, à l’évidence, au moment de définir la hiérarchie, juge Le ParisienSur l’écran noir de ses nuits blanches, Alphonse Areola n’avait pas forcément échafaudé un tel scénario dans le jardin de son homologue allemand Manuel Neuer. Passé de l’ombre à la lumière, en raison des absences conjuguées de Lloris et de Mandanda, il a relevé le gant avec brio. Sous les yeux écarquillés des spectateurs bavarois, il a enfilé des habits nommés maîtrise et culot pour étaler toute la panoplie du gardien moderne. »

Le Figaro parle d’un « Alphonse Areola qui, du haut de ses 25 ans, a repoussé tous les assauts et répondu à toutes les attentes pour sa première cape en sélection. C’est simple, en fin de match, avec ses partenaires dans le dur physiquement, il a pris ses responsabilités devant Reus (65e), Hummels (72e), Muller (75e) ou Ginter (76e) entre parades, détente sèche et sens du timing. Magistral. Pour le plus grand plaisir de Didier Deschamps qui sait désormais pouvoir compter sur le portier du PSG, dont l’été ne semblait pas s’annoncer sous d’aussi bons hospices avec l’arrivée de Gianluigi Buffon au sein de la capitale. Encore un homme dont le statut a changé et qui semble s’en départir avec une facilité déconcertante. Ça s’appelle l’état de grâce. Pourvu que ça dure un peu plus qu’en politique. »

« La deuxième mi-temps s’est résumée à un festival d’Areola. Le gardien du Paris Saint-Germain a multiplié les arrêts de grande classe, écrit l’AFPUne prestation de très haute volée qui permet à l’équipe de France de ramener un point de Munich. »

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