La revue de presse PSG : Claudio Gomes, Adli, Ben Arfa, Trapp, Neymar…

Vu et lu au sujet du PSG ce mardi 14 novembre  dans la presse hexagonale.

« Après le départ de Dan Axel Zagadou à Dortmund et de Mahamadou Dembélé à Salzbourg, en juin, le PSG est confronté à une problématique similaire, rapporte L’Equipe. Elle concerne deux des plus grands espoirs du club. Claudio Gomes, un milieu petit format, dispose d’une offre de Manchester City. Gomes, qui ne cache pas son attachement à son club formateur, n’avait d’abord pas prêté beaucoup d’attention à cette approche. Depuis quelques semaines, et après quelque contretemps, il s’interroge. Antero Henrique s’est personnellement engagé dans ce dossier. Mais les arguments financiers de City sont solides. Yacine Adli a été sollicité par le Bayern et le FC Barcelone pour lequel il ne cache pas sa préférence. Le cas d’Adli est intéressant: après avoir confié longtemps ses intérêts à l’avocat d’Adrien Rabiot, il s’est rapproché ces dernières semaines du bien connu Kia Joorabchian, un agent proche d’Antero Henrique. Ce dernier dispose donc de leviers pour éviter cet exil. »

« C’est cet après-midi (17 h 30, ndlr) que la commission juridique de la Ligue va entendre Hatem Ben Arfa et le PSG, lit-on également dans le journal sportif. La semaine passée, Ben Arfa, qui n’a pas joué la moindre minute cette saison, n’était pas certain de se présenter aujourd’hui en raison d’obligations personnelles. Après réflexion et échanges avec ses conseils, l’attaquant sera présent « à 90 %, oui », confie-t-on dans son entourage. « C’est mieux qu’il soit là », poursuit l’un de ses proches. »

« La commission doit mener une conciliation entre les deux parties et déterminer si HBA est victime de conditions de préparation discriminatoires. Ben Arfa, sauf changement de dernière minute, se déplacera à la réunion, confirme Le Parisien. Il tient à montrer son implication dans cette histoire. Un représentant du département juridique du PSG sera aussi là. Ben Arfa, sauf changement n’est pas décidé à s’asseoir sur les sommes encore dues jusqu’au 30 juin (500.000€ brut par mois). Seule une offre cet hiver d’un club capable de gagner la Ligue des champions pourrait éventuellement le faire changer d’avis, ou bien sur le paiement des six derniers mois de contrat ».

« Pour Kevin Trapp, la saison débute ce soir face à la France, écrit le quotidien francilien. « Kevin Trapp avait joué avec nous contre le Danemark et avait fait une très belle performance. Nous avons un bon feeling à son sujet », a expliqué le sélectionneur allemandPas sûr qu’Unai Emery, son collègue du PSG, partage le même avis. Trapp a, en effet, payé très cher un match cauchemardesque face à Tottenham lors de la préparation estivale. Deux bourdes, un carton rouge et, depuis, l’Allemand a totalement disparu des radars. Le technicien espagnol a décidé de le rétrograder pour lui préférer Areola au poste de n°1. Les bonnes performances du Français ont scellé le sort d’un Trapp qui portait déjà sa part de responsabilité dans la remontada. Depuis, il ronge son frein, sans bruit mais non sans amertume. »

FF« Les grands joueurs ne prennent jamais de recul. Même quand ils disputent un match amical, ils parviennent à s’inviter dans les débats, juge France Football. Dans la foulée d’un oubliable Japon-Brésil, Neymar s’est livré à un surprenant exposé. Jusqu’à quitter la conférence de presse les larmes aux yeux. Au milieu de formules visant à convaincre de son bonheur de jouer au PSG, il a eu cette phrase qui dit à la fois sa lucidité et sa fragilité. «Je suis un garçon de 25 ans qui a encore beaucoup à apprendre dans le football.» […] Tout Neymar qu’il est, il doit se faire à son nouveau cadre de travail. Depuis son arrivée à Paris, il a, par exemple, découvert que le clasico à la française pouvait être aussi bouillant que celui qu’il a connu en Espagne, que les pelouses de L1 étaient taillées à la tête du client, que les arbitres ne passaient rien aux stars et que le Parc des Princes adorait Edinson Cavani. Autant de paramètres qu’il doit intégrer. […] Après avoir tiré tout le club vers le haut sur son nom, il lui reviendra de hisser l’équipe vers les sommets sur son talent. Un Neymar à son meilleur, c’est aussi un Neymar plus fort dans sa tête et imperméable à toutes formes de pression. Verser des larmes en public a quelque chose de touchant, mais cela n’aide pas à gagner des trophées. Son capitaine au PSG pourra le lui confirmer. »

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