Revue de presse PSG : Confinement, Classico, XI de rêve & Paredes

Vu et lu au sujet du PSG ce dimanche 21 mars 2020 dans la presse hexagonale.

« Alors que devait avoir lieu aujourd’hui le OM-PSG, Marseillais et Parisiens occupent leur temps comme ils peuvent, constate L’Equipe. À Paris, la grande affaire de la semaine aura été les départs de Neymar, Thiago Silva et Cavani en Amérique du Sud, trois cadres qui ont quitté le navire, contrairement à Marquinhos, par exemple qui, lui, a décidé de rester pour ne pas exposer sa famille, tandis que Mbappé est en province. Passé plus inaperçu, le retour aux Pays-Bas de Bakker peut aussi poser problème. Là-bas, le gouvernement mène pour l’instant une politique dite de l’immunité collective. Ce qui va forcément exposer le défenseur. […] La justification de la compagne de Silva a été, au mieux maladroite, au pire mensongère. Sur les réseaux sociaux, elle a expliqué le départ par l’absence de nourriture dans les magasins à Paris, une déclaration très modérément appréciée par certains supporters. Si tous ces départs ont été validés par le club, ils n’ont pas été bien perçus par une direction inquiète. Chez lui, Cavani dispose d’un très grand terrain pour travailler. Ce n’est pas le cas de tout le monde. Entretenir sa condition physique, c’est le grand défi. »

Le journal sportif regarde les Classicos dans le rétroviseur et propose par exemple une opposition de rêve choisie par les internautes. Côté OM cela donne : Barthez – Amoros, Boli, Mozer, Di Meco – Waddle, Deschamps, Sauzee, A.Pelé – Papin, Drogba. Côté PSG, le onze est celui-là : Lama – Fournier, Ricardo, Marquinhos, Heinze – Rai, Verratti, Matuidi, Ronaldinho – Weah, Ibrahimovic. Un onze de rêve parisien qui prête largement à discussion…

Dans L’Equipe, seul journal à parler du PSG ce dimanche, il est aussi question de Leandro Paredes, le « bad boy de Paname ». « Rugueux, tchatcheur et truqueur, il s’est taillé une solide réputation de milieu accrocheur. Son profil aurait parfaitement collé avec l’ambiance d’un Classique. Paredes serait donc ce joueur parfois vicieux dont Paris manquait depuis le départ de Thiago Motta, en 2018. Freiné par une relation fraîche avec son entraîneur, l’Argentin a mis à profit ses quelques matches pour prouver son utilité dans le combat. […] Paredes, au-delà de ses capacités dans la distribution, a montré, au milieu d’une concurrence dense qu’il pouvait être une alternative crédible dans des matches à enjeu. »

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