Revue de presse PSG : Neymar, Guedes, Lucas, Dybala, mercato…

Vu et lu au sujet du PSG ce mardi 16 janvier 2018 dans la presse écrite française.

« Gonçalo Guedes éclipse semaine après semaine son compatriote Cristiano Ronaldo sur les pelouses d’Espagne, ose Le Parisien« Aujourd’hui, Guedes est au bon endroit, estime l’agent Bruno Satin. A Valence, il a atterri dans un club où la concurrence était moins forte qu’au PSG et il est arrivé sans complexe et avec ses qualités. A Paris, il était vu comme un joueur pour le futur. Finalement, à lui seul, il va permettre à Paris de boucher une partie de son trou financier. » […] Acheté 30M€ il y a tout juste un an à Benfica, il attise la convoitise de nombreux clubs. A commencer par le FC Valence. Certains grands clubs anglais se penchent sérieusement sur son cas. »

« Neymar a participé à l’intégralité de l’entraînement des Parisiens, hier, sans douleurs apparentes, rapporte L’Équipe. Il semble que les douleurs aux cotes aient disparu. Le staff semblait confiant pour le réintégrer dans le groupe. Ce retour devrait alors se faire au détriment de son compatriote, Lucas. Résigné il devine qu’il ne portera plus les couleurs du PSG et espère entrevoir une porte de sortie très vite, peut-être même d’ici à la fin de la semaine. Thiago Motta n’a toujours pas repris avec le groupe. »

France Football aimerait que Neymar soit plus protégé par les arbitres français. « 1.Parce que la Ligue 1 a besoin de lui. Il révolutionne le Championnat de France, lui permet d’accomplir un saut de qualité, il focalise l’attention du monde entier sur l’Hexagone, il excite l’inventivité des entraîneurs adverses. Son talent enthousiasme, il est précieux, même si son attitude irrite. Et il serait regrettable que cette embellie ne dure pas. 2.Parce qu’il devient une cible. Le Brésilien explose les statistiques de fautes subies par match. En plus, il ne craint pas de revenir au combat, l’oeil moqueur et la balle calée sous la semelle.  Le dilemme – trop siffler ou pas assez – est limpide. On ne siffle jamais trop pour la préservation de l’esprit du jeu. 3.Parce qu’il se met en danger. Son attitude tape sur le système des supposés fautifs, qui meurent d’envie de recommencer. »

Dans l’hebdomadaire il est aussi question des gros transferts du mercato. Dans les prochaines grosses opérations internationales, il imagine par exemple Paulo Dybala. « Actuellement blessé à la cuisse droite, il n’est pas à vendre. Mais que ferait la Juve face à une offre monstrueuse, au delà des 150M€ ? Par exemple du PSG, dont le frère du joueur aurait récemment rencontré le président. Ou encore de Manchester United. » Et enchaîne avec Edinson Cavani « en cas de fissure »« D’autant que nombre de grands d’Angleterre ou d’Espagne guettent la moindre petite fissure de confiance pour s’engouffrer et convaincre la machine à buts (plus de 30 garantis par saison depuis Naples), sous contrat jusqu’en 2020, qu’il serait mieux respecté ailleurs. »

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