[12/9] Revue de presse PSG : Infirmerie, Wenger, Di Maria…

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse nationale ce lundi 12 septembre 2016.

« Pour la réception d’Arsenal demain soir, Unai Emery devrait enregistrer le retour de Thiago Silva et peut-être celui de Pastore (mollet), écrit Le Parisien (qui propose un entretien avec Jesé). Maxwell (dos) et Aurier (cheville) sont toujours incertains, tandis qu’un point sera fait aujourd’hui pour Kurzawa (cuisse). Arsenal, qui rejoint Paris cet après-midi, sera privé de Mertesacker, Gabriel et Debuchy, blessés. Ramsay devrait faire son retour dans le groupe. »

« La défense demeure la principale interrogation à la veille de la réception d’Arsenal, commente L’Equipe. La blessure de Kurzawa (cuisse) ne s’avère pas dramatique mais le club ne veut prendre aucun risque. Décision a priori aujourd’hui. Sa présence conditionnera largement le onze de départ. En cas de forfait du latéral des Bleus, si Maxwell (dos) et Aurier (cheville) sont laissés au repos aussi, Kimpembe devrait débuter à gauche. Dans l’axe, Unai Emery pourrait alors reconduire la paire Marquinhos-Thiago Motta qui a disputé la seconde mi-temps contre Saint-Étienne (1-1), et titulariser Krychowiak au milieu, ou bien lancer Thiago Silva, opérationnel mais qui sort de six semaines sans compétition. Devant, Pastore (mollet) s’est entraîné hier mais reste douteux. L’autre incertitude concerne le gardien. La tendance va à un maintien de Trapp mais une surprise n’est pas à exclure, sachant qu’Emery veut instaurer une concurrence et qu’il lui arrive de cloisonner les compétitions. L’équipe probable : Trapp ou Areola, Meunier, Marquinhos, Thiago Motta ou Thiago Silva (cap.), Kimpembe ou Kurzawa, Verratti, Krychowiak, Matuidi, Lucas ou Pastore, Cavani, Di Maria. »

« La dernière fois que le PSG a tenté de recruter Wenger remonte à l’été 2014, affirme le quotidien sportif, alors que la saison avait été chahutée et que la direction s’interrogeait sur l’idée de se séparer de Laurent Blanc. Avant, en revanche, les prises de températures et les tentatives plus ou moins directes furent fréquentes. Elles ont commencé à l’arrivée de QSI dans le capital du club, en 2011. Cela s’est poursuivi en 2013, au moment du départ de Carlo Ancelotti et donc, un an plus tard, à l’issue de la première année de Blanc. Avec, à chaque fois, la même issue. L’Alsacien, qui a quitté le foot français en 1994 après avoir été licencié de Monaco, n’était pourtant pas farouchement opposé à l’idée de diriger le PSG. (…) La fidélité est l’un des principes du manager français. Comme le souci de ne pas donner l’impression de savonner la planche à d’éventuels prédécesseurs. »

« Peut-il, à lui tout seul, remettre le PSG d’aplomb ? Recruté l’an passé pour faire passer un cap au club, Angel Di Maria sera particulièrement attendu face à Arsenal, mardi, explique l’AFP. Unai Emery est un nouvel entraîneur déjà sous pression, alors que les nouveaux joueurs comme les anciens peinent à assimiler sa méthode et encore moins à l’appliquer. Dans ce contexte, Di Maria doit être un leader, un de ceux qui montrent la voie. (…) Rentré jeudi de son périple sud-américain, Paris espère bien le voir en pleine possession de ses moyens face à Arsenal. Globalement, sa mission reste inchangée : il doit être le pourvoyeur numéro un de ballons de but à l’avant-centre. Chose dont il s’était très bien acquitté la saison passée, avec 23 offrandes en 47 matches officiels avec le PSG (sans oublier 15 buts inscrits). Alors qu’Edinson Cavani a la lourde tâche de faire oublier Ibrahimovic et souffre déjà de la comparaison avec pléthore d’occasions non converties en quatre matches (un seul but au compteur), l’ailier argentin n’a d’autre choix que de continuer à alimenter l’Uruguayen. »

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