[15/9] Revue de presse PSG

Vu et lu dans la presse hexagonale au sujet du PSG ce jeudi 15 septembre 2016.

« Dans le contenu, ce match recèle des points positifs et Unai Emery a prouvé qu’il pouvait opérer des choix pertinents, écrit Le Parisien. Mardi, les 45 premières minutes ont livré le spectacle d’une formation capable de presser haut son adversaire et de se projeter rapidement sur le but adverse. Evidemment, Paris n’a pas réussi à maintenir la même dynamique après la pause, mais cela n’a pas empêché les attaquants de se montrer encore dangereux même si l’étreinte était moins forte. (…) En plus du but ultrarapide de Cavani, le PSG s’est créé sur l’ensemble de la rencontre pas moins de sept occasions franches (quatre pour Cavani, deux pour Di Maria, et une pour Rabiot). Et c’est volontairement que nous ne recensons pas la tête ratée d’un cheveu par Marquinhos, ou le face-à-face perdu d’Aurier. Le pressing et les déplacements ont mis au supplice la défense des Gunners. En tout et pour tout, l’équipe de la capitale a tiré 14 fois, ce qui prouve son activité offensive, mais n’a cadré que 5 fois selon les statistiques de l’UEFA. (…) Matuidi, Areola, Krychowiak sur le terrain, Ben Arfa en tribunes, Emery a opéré des choix marquants pour son premier match de Ligue des champions à la tête du PSG. Cela prouve que l’entraîneur sait garder la tête froide et faire preuve d’audace. »

« Entre le sentiment que son équipe, largement dominatrice, intègre peu à peu ses principes (pressing, intensité, agressivité) et l’inquiétante inefficacité d’Edinson Cavani, Unai Emery a voulu retenir le positif, avance L’Equipe. Comme il l’a toujours dit, Emery veut de la concurrence, y compris pour le gardien. Avec un risque : fragiliser les deux hommes. Ces derniers jours, Trapp ne dégageait pas une franche sérénité et le précédent Sirigu montre que ce n’est pas anodin. (…) Par son volume et son impact, sans être manchot dans les sorties de balle, Krychowiak était un maillon essentiel pour sécuriser une équipe sans cesse sous la menace du déséquilibre. Sa titularisation mardi en sentinelle a sorti Thiago Motta du onze de départ. Un vrai choix tactique. Motta symbolisait le jeu de possession du PSG sous l’ère Blanc. Le reléguer sur le banc pour les grands rendez-vous est délicat car son influence dans le vestiaire n’est pas négligeable. (…) Le festival d’occasions manquées face aux Gunners ne devrait rien y changer : Cavani et Di Maria sont promis à avoir leur rond de serviette dans le onze type. Du moins pour le moment. La troisième place en attaque est beaucoup plus indécise. Entre Ben Arfa, Lucas, Jesé et Pastore, la bataille s’annonce féroce. Il suffit de voir le pataquès issu de la décision de ne pas convoquer Ben Arfa (…) En attendant, Pastore pourrait régler la question. À condition que ses mollets le laissent enfin tranquille… et que l’ombre de Ben Arfa ne soit pas trop pesante. Le technicien basque et son staff s’étonnent en privé de l’importance du cas Ben Arfa dans les médias. (…) Satisfait de l’attitude de son joueur alors qu’il n’était pas dans le groupe, Al-Khelaïfi l’a encouragé à continuer d’attendre patiemment son heure comme il le fait et lui a confié qu’elle viendrait vite. »

« Laywin Kurzawa ne s’est pas entraîné hier matin. Touché à une cuisse, il ne devrait pas être convoqué pour le déplacement à Caen, demain, lit-on par ailleurs. Serge Aurier pourrait également manquer ce rendez-vous. Le staff pourrait être tenté de le préserver et offrir du temps de jeu à Thomas Meunier. »

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