[19/9] Revue de presse PSG : Areola, Blanc, Dijon…

Vu et lu dans la presse nationale au sujet du PSG ce lundi 19 septembre 2016.

« Areola est bien parti pour réaliser son rêve. S’il tient l’objectif qu’il s’était fixé à seize ans, Areola deviendrait le premier gardien formé au club à s’imposer comme numéro 1 du poste. Unai Emery a beau répéter qu’il veut de la concurrence à tous les étages, cette double titularisation ressemble à un début de prise de pouvoir, juge L’EquipeCitée en exemple au centre de formation du PSG, sa trajectoire linéaire a toutefois été marquée par quelques périodes de doute. Entre l’équipe réserve et les prêts, il a parfois trouvé le temps long, au point d’hésiter au moment de signer sa dernière prolongation, en 2014 (il est lié jusqu’en 2019). Depuis, il a pris une autre dimension. Sa saison à Villarreal, où il s’illustra comme un des meilleurs gardiens de la Liga, n’est pas passée inaperçue. Elle lui a valu d’être approché par les plus grands agents : hier Jorge Mendes, qui lui a fait miroiter un éventuel avenir au Real Madrid ; aujourd’hui Mino Raiola. Elle lui a permis aussi de taper dans l’œil de Didier Deschamps, qui en a fait un réserviste pour l’Euro, et d’Unai Emery. »

L’équipe probable du PSG face à Dijon selon le quotidien sportif : Areola – Meunier, Thiago Silva (cap.), Kimpembe, Maxwell – Pastore, Thiago Motta, Matuidi – Ben Arfa ou Augustin, Jesé, Lucas.

« Laurent Blanc a le moral. Ses proches décrivent un homme « en pleine forme », « bien dans sa tête », « pas affecté », rapporte Le Parisien. Les vacances terminées, le Président a retrouvé sa maison dans la région de Bordeaux. Avec sa femme et ses trois garçons, dont deux sont au lycée, il « vit comme tout le monde », relaie un proche. Footing, golf, ballon rond devant sa télé rythment ses journées. Samedi, il s’est offert, en compagnie de son agent Jean-Pierre Bernès, sa première sortie publique depuis son départ du PSG à l’occasion de Bordeaux – Angers. Pour le reste, Blanc compte rester fidèle à sa ligne de conduite de toujours : la discrétion, la sous-exposition, loin des micros et des caméras. Il croule pourtant sous les demandes d’interviews, « y compris de la part de ceux qui lui ont craché dessus ces trois dernières années », s’étrangle un ami. Au moment de son divorce d’avec le PSG, il n’a signé aucune clause lui interdisant de revenir sur sa période parisienne. Mais « il n’a pas envie de parler », ajoute un intime. Pas pour l’instant, en tout cas. En privé, le champion du monde tient des propos « positifs » sur le PSG. « Etre viré, il sait que ça fait partie du métier », observe-t-on dans son entourage. Blanc ne garde que les bons souvenirs de son passage dans la capitale et ne tarit pas d’éloges sur Jean-Claude Blanc « qu’il considère comme un seigneur »A priori, sauf offre impossible à refuser, le technicien n’entend pas retrouver un banc cette saison. Il s’accorde une pause d’un an. Cet été, il a balayé poliment les trois propositions qu’il a reçues. »

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