La revue de presse PSG : joueurs prêtés & Weah

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce vendredi 29 décembre 2017.

« La vente de certains joueurs prêtés pourrait permettre d’équilibrer les comptes du PSG. Mais hormis Guedes, il y a peu d’espoirs de réaliser de vraies plus-values, constate Le Parisien. Les cas les moins épineux concernent Edouard (Celtic) et Ikoné (Montpellier). Formés à Paris, ils n’ont rien coûté. Edouard représente la plus grande valeur marchande. Mais en Ecosse, il n’a participé qu’à 13 rencontres pour 4 buts. Ikoné ne brille pas non plus (5 matchs de L1, 1 but). Sous contrat jusqu’en 2019, il sera invité à trouver un club à son retour en juin prochain. […] Les maux de tête se concentrent sur les cas Krychowiak et Jesé. Prêtés sans option d’achat, à West Bromwich Albion et Stoke City, ils ont respectivement été achetés 33 et 25 M€ par le PSG. Avec un salaire conséquent à plus de 6 M€ annuellement pour le Polonais et 5 M€ pour l’Espagnol ; plus, pour les deux, un contrat jusqu’en 2021 ! Sauf que leurs performances en Angleterre sont proches de la catastrophe. […] Pour Guedes, c’est tout le contraire. Valence en est si content que des discussions ont déjà lieu. Mais rien ne sera acté avant la fin de saison. Enfin, concernant Bahebeck et Robail, prêtés à Utrecht et au Cercle de Bruges, le PSG sait qu’il ne fera aucun coup financier avec ces joueurs. »

« George Weah a été élu hier à la tête du Liberia avec 61,5 % des voix. C’est le premier joueur professionnel à devenir chef d’État, observe L’Equipe. Michel Denisot se souvient d’un garçon sensible qui semblait mettre sa nation au-dessus de tout. « George avait un tel attachement à son pays qu’il n’était pas question pour lui de manquer un match de sa sélection, nous confiait-il récemment. Quand il partait au Liberia, il demandait à Nike de remplir l’avion d’équipements de foot pour les gamins là-bas. Il faisait aussi venir des jeunes Libériens en France et les hébergeait. Parfois, même, il menait en secret des actions spontanées envers des gens en difficulté. » Comme si Mister George se préparait, sur le terrain de la vraie vie, à une fonction supérieure. […] « George payait l’eau, l’électricité, les ordinateurs et les salaires des fonctionnaires de l’ambassade du Liberia à Paris. Il faisait même leurs courses. George voulait tout simplement que son ambassade vive… ça veut tout dire », raconte Oumar Dieng. Il a mille autres souvenirs de ces instants où Weah prenait sur son temps de sommeil pour se mettre au service des autres. « Chaque année, il faisait construire une école, des postes de santé… » […] George Weah semble politiquement armé pour accomplir sa nouvelle destinée.« 

Articles similaires

Bouton retour en haut de la page