La revue de presse PSG
Vu et lu dans la presse hexagonale au sujet du PSG ce samedi 19 mars 2016.
« C’est une bataille de cheikhs, et de gros
chèques, plaisante Le
Parisien. Si les millions permettent
de ciseler des effectifs constellés d’internationaux, ils ne font
pas tout. Et depuis le rachat par le Qatar et Abu Dhabi,
aucun des deux clubs n’a réussi à pénétrer ce fameux dernier
carré. Depuis son retour en C 1, le club anglais n’a
même pas fait mieux que les 8es de finale où il a été
éliminé par le Barça lors des deux dernières éditions. (…)
Le projet parisien apparaît plus cohérent que
celui du club anglais. Au départ, les deux directions ont
énormément dépensé pour acheter des joueurs de renom, Yaya Touré,
David Silva côté anglais et Ibrahimovic, Thiago Silva côté
français. Mais par la suite, le PSG a procédé par petites
touches, préférant la stabilité à l’empilement des joueurs
comme c’est le cas à City depuis quelques
saisons. »
« Il s’agit certainement de l’adversaire le plus intéressant à défaut d’être le plus facile à battre. City, et ses millions venus d’Abu Dhabi, représente la Premier League, le Championnat le plus regardé au monde, et pourrait permettre à Paris, après avoir déjà écarté Chelsea au tour précédent, de voir sa réputation, en cas de qualification, enfler bien au-delà des frontières du continent. Et ce n’est pas anodin pour des dirigeants parisiens, qui veulent faire de leur club une marque de référence, écrit L’Equipe. En termes d’impact médiatique, City est largement au-dessus de Benfica ou Wolfsburg, pas si éloigné des grands (Barcelone, Real, Bayern) même s’il vit une saison compliquée sportivement. »
« Les problèmes de Manchester City ont parfois été attribués à la soudaine vieillesse de Yaya Touré : en y regardant de près, l’affaire est un peu exagérée, ajoute le quotidien sportif. Dans un 4-2-3-1, Yaya Touré joue derrière Sergio Agüero. Et il continue, parfois, d’inscrire des buts fantastiques. Quatrième de la Premier League, Manchester City est en dessous de ses standards dans tous les domaines. Ce qui est visible, et saute même aux yeux, c’est la faiblesse de sa charnière. Cette instabilité provoque une irrégularité considérable. Cependant, contrairement à la perception générale, c’est aussi l’attaque de City qui pose problème, cette saison. Les blessures ont obligé Agüero, Silva et Sterling à beaucoup jouer, et seul l’Argentin (16 buts en 22 matches de Premier League) est à son niveau. Bony a montré moins de choses que le jeune Kelechi Iheanacho, Nasri s’est blessé, Navas aussi, même s’il est revenu, et De Bruyne manque beaucoup. Avec 52 buts en 29 journées, City en a inscrit 27 de moins que la saison dernière à la même époque. Le grand espoir des Citizens s’appelle De Bruyne. Il fait l’objet de deux tendances contradictoires. Pellegrini a annoncé qu’il pourrait jouer avec les jeunes à la fin du mois. Wilmots a été moins optimiste : Il est en avance sur son programme, mais il devrait être de retour pour le 10-15 avril ».