Stop ou encore : Kevin Trapp, Alphonse Areola et Salvatore Sirigu

La saison 2016/2017 du Paris Saint-Germain s’est achevée le samedi 27 mai par la victoire en Coupe de France contre Angers. Après avoir glané son troisième trophée cette saison, c’est l’heure de faire les bilans individuels et collectifs de la saison qui vient de s’écouler. Sous la forme de sondages publiés chaque jour, nous vous proposerons de répondre à la question « stop ou encore ? » pour ceux qui ont disputé au moins un match avec les professionnels et les joueurs prêtés qui reviennent début juillet. Ce lundi 29 mai, nous commençons avec les gardiens. 

Kevin Trapp (fin de contrat : juin 2020)
31 matchs (31 titularisations) : 2754 mins, 23 buts encaissés, 18 clean-sheet
Titulaire en début de saison, il avait perdu sa place en septembre au profit d’Alphonse Areola. Mais l’Allemand, n’a jamais perdu de vue l’objectif de redevenir numéro un. En janvier, il retrouve une place de titulaire. Ses statistiques sont plombées par les 6 buts encaissés à Barcelone mais elles restent correctes avec 18 clean-sheet en 31 matchs. En moyenne, il a encaissé un but toutes les 119 minutes.

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Alphonse Areola (fin de contrat : juin 2019)
27 matchs (26 titularisations) : 2376 mins, 21 buts encaissés, 13 clean-sheet
Doublure puis numéro un au moment de recevoir Arsenal en Ligue des Champions, il avait offert quelques promesses. Mais sa série de 10 buts encaissés en 11 tirs cadrés lui a sans doute coûté sa place de titulaire. En rentrant contre Monaco, fin janvier après la blessure de Kevin Trapp, il était attendu au tournant mais relâche le ballon en corner précédant le but, où il fait une faute de placement/main. Il s’est refait une santé en Coupe de France où il a offert six clean-sheet sur les six rencontres disputées. En moyenne, il a encaissé un but toutes les 113 minutes.

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Salvatore Sirigu (fin de contrat : juin 2018)
21 matchs (21 titularisations) : 1888 mins, 56 buts encaissés, 1 clean-sheet :
C’est bien simple à décrire, la saison de Salvatore Sirigu a été cauchemardesque. D’abord à Seville où il ne dispute que trois matchs officiels avec une expulsion à la clé pour une coup de coude adressé à Aritz Aduriz. Puis à Osasuna où il rejoint une défense très perméable avec 55 buts encaissés en 18 matchs, soit un peu plus de trois par rencontre. Il a dû attendre le mois d’avril pour réaliser son premier et seul clean-sheet, sur la pelouse du Deportivo Alaves (0-1). En résumé, il a encaissé un but toutes les 34 minutes. L’Italien doit être content de ne pas rester une minute de plus en Espagne.

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