Boy de la Tour : « Après accord de la LFP, du préfet, du club, il peut y avoir une zone où on peut craquer des fumigènes »

Du public au Stade de France pour les finales de la Coupe de France (PSG/ASSE) et de la Coupe de la Ligue (PSG/OL), c’est l’objectif commun de la FFF et de la LFP. Nathalie Boy de la Tour, présidente de la Ligue de football professionnel, est claire sur cette intention du foot français. « On est bien partis pour jouer la finale de la Coupe de la Ligue et surtout ce qu’on espère, ce sur quoi on travaille c’est la jouer avec du public, a expliqué la présidente de la Ligue au micro du CFC. Une finale ou même des matches, je regarde ce qui se passe chez nos voisins, sans public ce n’est pas le football qu’on aime. On a besoin de l’émotion apportée par les supporters. Il faut une rencontre entre ce qui se passe sur le terrain et ce qui se passe en tribune. On espère que cette jauge de 5000 personnes sera dépassée. On y travaille. »

« Les fumigènes, ça reste une expérimentation encadrée, a également rappelé Nathalie Boy de la Tour dans cet entretien. Ce qui veut dire pour des clubs qui auraient envie de faire le test et qui respecteront un cahier des charges. Après l’accord de la Ligue, du préfet, du club, il peut y avoir une zone où on peut craquer des fumigènes. L’association pourra craquer des fumigènes mais avec des contrôles de sécurité qui sont importants. Si ce n’est pas fait de cette façon là ça reste interdit. On n’est pas des ennemis. On besoin des supporters. Il n’y a pas de raison qu’on soit en conflit »

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