Cazarre : « Unai, parfois, me fait penser à mon fils de trois ans »

Canal Plus, Europe 1, France Football, Julien Cazarre commente l’actualité footballistique à sa manière, sans cacher sa passion pour le PSG. Alors, forcément, quand Unai Emery s’apprête à vivre ses dernières semaines sur le banc parisien, cela l’inspire. D’autant plus qu’il comprend mieux les propos de l’entraîneur, curieusement…

« Il est arrivé en France en nous éclaboussant de son charmant accent ibérique et un français qui, même approximatif, nous éblouissait par son naturel enchanteur… Seulement voilà, depuis deux ans qu’il est là, il semble qu’il n’ait fait aucun progrès. Comme s’il trouvait cela finalement plus pratique pour éviter les explications trop pointues ou trop embarrassantes, commente Cazarre dans l’hebdomadaire. Leonardo Jardim a un peu le même souci avec la différence que, lui, est en totale régression. On comprend de moins en moins ce qu’il dit. Unai, parfois, me fait penser à mon fils de trois ans quand on lui demande si c’est lui qui a cassé le vase du salon en prenant la cheminée pour la cage de Keylor Navas, il répond dans un charabia «soubresauteux» que même le KGB n’aurait pas pu décoder et finit par un sourire et un câlin… Alors, la comparaison s’arrête au niveau du câlin pour Emery, il n’en est pas encore arrivé là, même si, après la question sur son coaching calamiteux contre Madrid, on est passé près. Bizarrement, ces derniers temps, je comprends de mieux en mieux ce qu’il dit. Comme si son inéluctable départ avait libéré sa parole et désentravé sa mâchoire…« 

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