Revue de presse PSG : Mercato, Emery, Lucas…

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse nationale ce vendredi 25 novembre 2016.

« La phase aller a conforté le PSG dans la nécessité de recruter une doublure à Cavani en vue des échéances du printemps. Le profil : un avant-centre opérationnel tout de suite, mais sans qu’il puisse faire trop d’ombre à « Edi ». Les dirigeants ont ciblé l’Argentin Lucas Alario (24 ans), affirme L’Equipe, mais les prétentions financières du club (20 à 25M€) ont quelque peu refroidi les ardeurs parisiennes. De quoi raviver la piste menant à Carlos Bacca ? Le Colombien n’a jamais rompu le contact avec Unai Emery et a un accord verbal avec l’AC Milan qui le libérera en cas d’offre de 30M€. Une somme importante pour un attaquant de trente ans (lié jusqu’en 2020). Le départ de David Luiz n’a pas été compensé, il pourrait l’être cet hiver, même si ce ne sera pas la priorité et que Paris ne sautera pas sur le premier venu. Enfin, rayon départs, une réflexion entoure plusieurs jeunes (Ongenda, Callegari, Georgen, Nkunku) en vue d’un éventuel prêt. Très courtisé à travers l’Europe, Augustin, lui, devrait a priori rester dans la capitale. »

« Rentrés chez eux dans la nuit, aux alentours de 3 h 30, les Parisiens se sont retrouvés au Camp des Loges, jeudi, vers 11 heures pour un décrassage, rapporte le quotidien sportif. Ceux qui n’ont pas ou peu joué contre Arsenal ont participé à une opposition face aux jeunes du club. Angel Di Maria (cuisse) et Javier Pastore (genou) n’y ont pas pris part. Les deux internationaux argentins sont restés aux soins et leur participation au déplacement à Lyon, dimanche, demeure incertaine. »

« Le match nul arraché à Arsenalpermet de tirer un premier bilan globalement positif du mandat d’Unai Emery, juge Le ParisienL’entraîneur espagnol a su conquérir son vestiaire et affiche pour le moment des résultats qui sont dans les critères fixés en début de saison. Le technicien a su faire preuve de pragmatisme, écoutant ses joueurs pour revenir à un jeu de possession qu’ils maîtrisent à merveille. Une adaptation mais pas un reniement. Sous sa houlette, les Parisiens récupèrent le ballon plus haut, plus vite et se projettent plus rapidement. Ce travail de longue haleine n’est logiquement toujours pas abouti, mais l’effectif parisien semble enclin à suivre Unai Emery qui est en train de faire oublier le vide laissé par Ibrahimovic. (…) Paris s’appuie sur une défense qui se place parmi les plus compétitives d’Europe. Offensivement, Paris est également en avance sur ses derniers exercices avec 41 buts inscrits lors des 19 matchs. (…) Le reproche le plus fréquent à l’encontre d’Unai Emery est sa gestion pour le moins surprenante de ses recrues estivales. »

« Lucas a inscrit sept buts au total : cinq en Ligue 1, un en Ligue des champions (contre Bâle, 3-0, celui de mercredi ne lui a pas été attribué par l’UEFA) et un lors du Trophée des champions contre Lyon (4-1). Il n’a d’ailleurs jamais été aussi prolixe à Paris, constate le journal régional. Son apport offensif pourrait se révéler meilleur encore puisqu’il n’a délivré qu’une seule passe décisive cette saison. Mais le Brésilien paie certainement ses nombreux replis défensifs. (…) Un nouveau Lucas est en train de naître. Et celui-ci pourrait bien devenir une pièce maîtresse de cette équipe parisienne. »

« Unai Emery peut se prévaloir d’un bilan satisfaisant au niveau européen, tranche l’AFP. Et contrairement aux apparences, son bilan n’est pas non plus négatif en championnat: bien sûr, si on compare aux 35 points déjà engrangés après 13 journées de championnat la saison dernière, les 29 dans la besace parisienne font pâle figure. Mais il faut tenir compte d’un facteur cyclique pour lisser la comparaison: celui de la préparation estivale, qui, une saison sur deux, est perturbée par une grande compétition, Euro ou Coupe du Monde. Les années paires, celles de l’Euro-2016 ou du Mondial-2014, voient le PSG patiner en début de saison. Au contraire, les années impaires, qui laissent plus de temps aux joueurs pour reposer les organismes fatigués pendant l’été, sont celles où le PSG débute le mieux son championnat. A cette aune, il faudrait comparer le début de saison d’Emery à celui de la saison 2014/2015, qui avait vu le PSG prendre 27 points, deux de moins, ou à celui de la saison 2012/2013, lors de laquelle le PSG avait empoché 23 points. Avec 39 buts marqués, le PSG d’Emery est aussi le plus prolifique de l’ère qatarie après les 13 premières journées. »

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