Revue de presse PSG : Manchester United, Mbappé, Tuchel, notes…

Vu et lu au sujet du PSG ce mercredi 13 février dans la presse hexagonale.

« Sans ses stars, le PSG a finalement fait bien mieux que résister. Les Parisiens, qui ont eu la maîtrise du ballon, ont grâce à des buts de Kimpembe (53e) et Mbappé (60e), fait un pas vers la qualification pour les quarts de finale. Mbappé, sur les épaules duquel reposaient tous les espoirs offensifs parisiens n’a pas flanché, explique l’AFP. Sevré de ballons en début de match dans une position seule en pointe inhabituelle pour lui, l’attaquant des Bleus est monté en puissance après la mi-temps. »

Le Figaro

« L’histoire d’une confirmation. Et d’un nouveau statut tenu tel un cador de 30 ans. Alors qu’il n’en a que 20, commente Le Figaro SUR KMB. L’Angleterre avait découvert Mbappé un soir de février 2017 (Manchester City-Monaco). Elle a vu d’un peu plus près les progrès du champion du monde, à nouveau buteur et déterminant sous les couleurs du PSG pour un succès importantissime. »

L’Equipe

« Privé de Neymar et de Cavani, le PSG a compensé par des vertus collectives impressionnantes, commente L’Equipe. Non seulement, les Parisiens se sont ouvert en grand, très grand, les portes des quarts de finale, mais ils ont diffusé l’impression d’une équipe solidaire et unie, courageuse et généreuse, comme rarement depuis longtemps. Tuchel a su construire, fédérer et entraîner un groupe dans son sillage, balayant les éventuels différends entre certains joueurs et instituant un management admis par tous. Cette victoire est alors, avant tout, celle de son coach allemand, qui aura passé sa matinée d’avant-match à discuter avec ses cadres, Silva, Alves, Marquinhos ou Verratti notamment, pour leur expliquer, leur préciser ou leur repréciser ce qu’il attendait d’eux : conserver peu d’espace entre le milieu et la défense à la perte du ballon, ne pas lâcher Pogba d’un centimètre (ça, c’était pour Marquinhos) et tenter de se projeter le plus vite possible à la récupération. Le plus incroyable, en cette soirée magnifique, c’est que Paris a géré son match comme en L1 face à une formation de milieu de tableau : il n’a presque pas concédé d’occasions et a puni son adversaire sur quasiment chacune de ses actions.[…] L’efficacité du duo constitué par Verratti et Marquinhos, au milieu de terrain, a été prépondérante dans le succès parisien à Old Trafford. »

« Si sur le terrain Thiago Silva et ses partenaires ont fait le travail, en tribunes aussi les quelque 3700 supporters parisiens, emmenés par 1600 ultras, ont pris la mesure des locaux, remarque le journal sportif. Leurs chants ont redoublé avant d’exploser sur les deux buts. […] Les ultras parisiens se sont aussi signalés en allumant six fumigènes qui vaudront probablement une amende à leur club. L’un d’eux a été conduit à l’hôpital dans l’après-midi, après qu’un pétard lui a arraché deux doigts. »

Les notes de L’Equipe : Buffon 6 / Kehrer 7 / Silva 8 / Kimpembe 6 / Bernat 6 / Marquinhos 7 / Alves 7 / Verratti 6 / Di Maria 8 / Draxler 6 / Mbappé 7

Les notes du Parisien : Buffon 6 / Kehrer 8 / Silva 8 / Kimpembe 8.5 / Bernat 7 / Marquinhos 8.5 / Alves 6 / Verratti 8.5 / Di Maria 8 / Draxler 6 / Mbappé 8

Le Parisien

« Amis Parisiens, il se passe quelque chose cette saison en Ligue des champions avec le PSG. Après avoir achevé en tête la dure bataille d’une poule composée du dernier finaliste de la Ligue des champions (Liverpool) et d’une équipe entraînée par Carlo Ancelotti (Naples), Paris est tranquillement qualifié pour les quarts de finale de l’épreuve à mi-chemin de son duel contre Manchester United, privé de Pogba au retour, exclu, écrit Le Parisien. Tranquillement, cela veut dire pas totalement, pas encore. Un jour, il a mené 4-0 et vous connaissez la suite au retour, en Catalogne. On ne gagne pas souvent ici et il s’agit même de la première victoire d’un club français à Old Trafford. Tout arrive et le PSG joue les éclaireurs avec lampe magique d’où sort le génie de Mbappé, entre autres. […] Tuchel est le meilleur entraîneur de l’ère qatarienne si l’on juge de la première journée de championnat au 8e de finale aller. Il a donné une âme à son équipe, qui se transporte de Naples à Belgrade en passant par Manchester. Sans Neymar et Cavani — des forfaits annoncés comme rédhibitoires —, il a trouvé des solutions tactiques qui ont perturbé les Mancuniens, qui tombent pour la première fois avec Solskjær au bout de 12 sorties. »

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