Duluc : « La très grande affaire, c’est l’absence de relation technique d’une attaque à 500M€ »

Avec le PSG tout peut arriver, et le pire n’est jamais certain. Alors, Vincent Duluc, auteur de l’édito du jour pour L’Equipe, va attendre pour voir. Mais non sans poser quelques questions. Comme le manque de complicité d’une MCN qui n’a que très peu joué ensemble en 2018.

« Le moment est venu de nous souvenir et de nous méfier des conclusions gravées dans le marbre, écrit le journaliste dans L’Equipe. Il fallait être le PSG, profondément, culturellement, pour être éliminé à Barcelone, et il fallait être, encore, le PSG, pour perdre le match et perdre pied, hier soir, sous le haut patronage d’un arbitrage qui pose question quand un nouveau riche cherche à déboulonner un grand d’Espagne. […] Alors que la très grande affaire de la soirée serait plutôt l’absence de relation technique d’une attaque à 500 M€, les jours qui viennent vont être agités pour Emery. Le match a été à quelques centimètres de valoriser ses choix forts, sa manière de prendre le pouvoir sur les événements et sur l’équipe, en balayant les anciennes ambiguïtés. Mais, cruelle, la soirée madrilène a fini par souligner les points faibles d’un entraîneur guidé par sa science plus que par son instinct, et qui continue de chercher même quand il a trouvé. […] Les Parisiens vont désormais vivre trois semaines dans la peau de l’autre. Celui qui attend sa revanche. »

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