La revue de presse PSG : impact continental, al-Khelaifi, supporters, Rabiot…

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce vendredi 24 novembre 2017.

« La nouvelle démonstration de force du PSG a impressionné le continent, observe L’ÉquipeAvec 69 buts inscrits en 19 matches toutes compétitions confondues, soit une moyenne affolante de 3,6 par match, le PSG est devenu la nouvelle terreur du continent et a presque fait oublier la funeste remontada, une sacrée gageure en quelques mois… Même à la meilleure époque d’Ibrahimovic, Paris n’avait jamais dégagé une telle impression de rouleau compresseur. Le plus épatant, comme l’a admis Emery en pointant dès mercredi « ce qui reste à améliorer », c’est le sentiment que donne cette armada de ne pas être encore au zénith de sa forme. […] Le phénomène PSG intrigue tellement à Madrid que le quotidien sportif AS lui a dédié dans son édition de ce vendredi un dossier spécial de deux pages en ouverture du journal. Certaines personnes attendent toutefois de voir Paris avancer un peu plus dans la compétition avant de succomber au charme. Depuis Barcelone, la démonstration de Neymar a été observée avec un brin de nostalgie. […] « Le PSG, ce n’est que du divertissement », titrait la Gazzetta dello Sport dans son édition d’hier. […] Sur BT sport, Rio Ferdinand, a aussi loué la prestation du PSG (« Ils jouaient en souriant, c’était un plaisir de les regarder ») et celle de Neymar en particulier. Roy Keane a également célébré le PSG sur la chaîne ITV (« C’est une des meilleures équipes que l’on ait vues depuis longtemps »), tout en pointant un certain manque de réalisme chez les attaquants parisiens ».

« Ouvert le 6 novembre aux États-Unis, le procès du FIFAgate est rythmé par les révélations extravagantes des témoins appelés à la barre. Dans une atmosphère aux relents mafieux, lit-on également dans le quotidien sportif. Un témoin au procès a révélé que Nasser al-Khelaïfi avait négocié, sans suite, le rachat d’une société (51 % du groupe Full Play) dont les fondateurs sont aujourd’hui accusés de corruption. Al-Khelaïfi n’est accusé d’aucun méfait dans cette tentative de rachat finalement abandonnée. Mais il se serait sûrement passé d’entendre son nom cité dans ce procès retentissant ».

« Un chiffre inquiète le football français et montre qu’il s’agit d’une vraie tendance inquiétante : selon nos informations, écrit Le Parisien, 800 fumigènes ont été allumés lors des 13 premières journées de L 1, contre 376 la saison dernière à pareille époque. Quatre clubs (dont Bordeaux et le PSG) concentrent 75 % de ces engins pyrotechniques craqués. Mais si l’on parle de tout, il faut aussi évoquer, par exemple, la sublime ambiance ce mercredi au Parc lors de PSG-Celtic. Cependant, l’heure reste à la crispation et, dans ce contexte, les membres de plusieurs kops expriment leur colère. « Depuis plus d’un mois, les restrictions de déplacement recommencent et les sanctions par rapport à l’utilisation d’engins pyrotechniques s’aggravent : gardes à vue, interdictions de stade, amendes, inscriptions au casier judiciaire », constate Michaël Tommasi, vice-président du CUP ».

Pour rappel, le PSG a été sanctionné jeudi soir d’un match à huis-clos partiel, la tribune Auteuil sera fermée à cette occasion (lire ici)

« Les prestations d’Adrien Rabiot à ce poste de sentinelle, en l’absence de Thiago Motta, sont souvent brillantes, constate enfin le journal francilien. Ses statistiques sont bonnes. L’impression laissée est supérieure. Car le réveil parisien après le but encaissé face au Celtic porte le nom de Rabiot. Les nombreuses pertes de balle de Neymar dans les premières minutes ? Aucun problème, la sentinelle assure. Sur le second but du « Ney », Rabiot est encore une fois à l’origine du décalage. Même s’il a passé la suite de la partie plus bas sur la pelouse, Poupou a lancé les siens vers un festival. Avec Rabiot à ce poste, Paris a gagné tous ses matchs cette saison (7 sur 7). Il semble avoir trouvé un compromis avec Unai Emery. Il accepte sans rechigner de se positionner en 6. Et l’Espagnol lui accorde une certaine liberté, réclamée par les envies offensives du joueur. »

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