Revue de presse PSG : Bordeaux, Barça, Verratti, ultras…

Vu et lu au sujet du PSG ce vendredi 10 février 2017 dans la presse nationale.

« L’’équation semble fragile : il faut gagner pour ne céder aucun terrain aux Monégasques, mais il ne s’agit pas de piocher dans les réserves ni de revenir avec des blessés. Pour une fois, on ne leur en voudra pas de se contenter du strict minimum. Ce ne sera ni rassurant ni inquiétant avant le Barça tant le Barça constituera un match différent. Le football est ainsi que le PSG peut ne pas gagner à Bordeaux et renverser les Catalans, rappelle Le Parisien. L’autre équation pour Emery réside dans le choix des hommes. Cavani est indispensable pour gagner n’importe quel match de Ligue 1, mais faut-il prendre le risque d’une petite blessure à quatre jours de Barcelone ? Le PSG a-t-il absolument besoin de Thiago Silva pour s’imposer en Gironde ? En revanche, Bordeaux tombe bien pour relancer Marco Verratti. […] Maxwell ou Kurzawa ? Aurier ou Meunier ? Unai Emery dispose d’un dernier rendez-vous ce soir avant de trancher la question des latéraux alignés mardi. Essentiels dans le système prôné par Unai Emery, les latéraux du PSG déçoivent depuis la fin de la trêve hivernale. Seul Thomas Meunier semble dégager une certaine force. »

« Comment aborder un match de Championnat où l’on n’a pas le droit à l’erreur, sans trop penser au rendez-vous, quatre jours plus tard face au Barça, qui conditionnera beaucoup de l’avenir du projet parisien ? demande L’EquipeLe PSG donne le sentiment de ne pas vouloir le faire. Au-delà de la série, quasi parfaite comptablement – 8 victoires en 9 matches en 2017, 26 buts marqués, 4 encaissés -, il se dégage de cette équipe, non pas une force collective mais le sentiment que l’ «ADN», celui de «vainqueur» pour lequel Emery a été recruté, commence à être intégré. Paris, plombé par des erreurs individuelles – Rabiot, Areola – a su gérer des scénarios contraires ces dernières semaines. […] L’équipe alignée ne devrait pas être loin de celle qui commencera mardi. Un cas est au cœur du débat : pas celui de Kevin Trapp, rapidement tranché, celui de Marco Verratti. L’une des clés, face au Barça, sera là. A fortiori sans Thiago Motta, suspendu mardi. «Le Petit Hibou» doit jouer ce soir avant de se jeter dans le combat catalan. Combien de temps ? C’est une question. Une de plus pour Emery. »

« Les dirigeants parisiens ont préféré bafouer leurs accords avec la préfecture de police plutôt que de risquer un boycott des ultras pour la réception de Monaco. Une décision lourde de conséquences, estime le quotidien sportif. Le PSG a cédé devant ses supporters, comme il l’a fait avec son attaquant Jesé, prêté finalement à Las Palmas. Une décision qui a fait bondir en haut lieu, comme en atteste un courrier de la préfecture adressé à Jean-Claude Blanc juste avant la réception de Monaco. «Enfin, vous évoquez désormais la probabilité de faire entrer M. Mabille et tous les ex-supporters violents en tribune Auteuil (…) Je considère à titre personnel que cela mettrait également fin au climat de confiance et de responsabilité qui a prévalu jusqu’à présent dans nos échanges. En tout état de cause, la préfecture de police ne pourra pas cautionner cette mise devant le fait accompli.» Outre la dégradation significative de ses relations avec les pouvoirs publics, le PSG prend un risque notable. En effet, le sujet des ultras reste sensible. Et les incidents, le 14 janvier, sur une aire d’autoroute entre sympathisants des virages Auteuil et Boulogne, rappellent que les tensions sont loin d’être apaisées. »

« Les Girondins dans la continuité pour « provoquer les choses » contre Paris, écrit Sud Ouest. Les Girondins accueilleront le PSG ce vendredi (20 h 45) avec un groupe quasi inchangé suite au succès à Caen mardi (4–0). Le onze de départ devrait évoluer seulement à la marge (retours de Valentin Vada, de Jérémy Menez et/ou Gaëtan Laborde). »

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