La grosse colère de Gianluigi Donnarumma contre l’arbitrage

Hier, le PSG a concédé le nul contre Clermont (1-1). À l’issue de la rencontre, les Parisiens se sont offusqués du peu de temps additionnel accordé par l’arbitre malgré les très nombreux gains de temps des Clermontois et notamment de leur gardien. Gianluigi Donnarumma, remplaçant hier soir, était particulièrement remonté.

Quatre jours avant la réception – au Parc des Princes – du FC Barcelone en quart de finale aller de la Ligue des champions, le PSG recevait Clermont hier soir dans le cadre de la 28e journée de Ligue 1. Avec une équipe largement remaniée, le PSG a concédé le match nul contre la lanterne rouge (1-1) du championnat. Face à une équipe qui a défendu très bas pendant toute la rencontre, les Parisiens ont eu du mal à trouver la faille. Après avoir ouvert le score, les Clermontois ont grappillé du temps dès qu’ils le pouvaient. À chaque arrêt ou six mètres, le gardien clermontois prenait tout son temps pour dégager. Même si l’arbitre de la rencontre expliquait qu’il allait décompter le temps, il n’a accordé que quatre minutes de temps additionnel à la fin de la rencontre. Un choix qui a agacé les Parisiens et notamment Gianluigi Donnarumma.

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« C’est ça le plus gros défaut des arbitres français »

Remplaçant hier soir, le gardien du PSG a eu un vif échange avec le quatrième arbitre dans les couloirs du Parc des Princes. Un échange capté par les caméras de Canal Plus. L’international italien semble avoir mal pris une remarque du quatrième arbitre, Karim Abed, qui a expliqué à Gianluigi Donnarumma que le PSG a eu « 90 minutes pour marquer. » Une réponse qui n’a pas plus à l’Italien. « Ah ! Il a rajouté seulement une minute pour la dernière ? Toute la deuxième mi-temps, il était comme ça (il mime le doigt sur la montre). Qu’est-ce qu’il s’est passé ? C’est ça le plus gros défaut des arbitres français. Faire les choses comme ça, c’est le défaut des arbitres français. C’est un défaut de l’arbitre, pourquoi tu me dis ça à moi ? Il m’a dit : « tu as 90 minutes pour gagner », il a mis que quatre minutes en plus. C’est grave ça, c’est grave ça que tu me le dises comme ça, c’est grave. C’est très grave que tu me le dises comme ça. Pourquoi tu me le dis comme ça ? Je t’ai demandé pourquoi quatre minutes et tu me réponds comme ça. Pourquoi tu m’as parlé comme ça ? Hein ? C’est grave ça, c’est grave ça. »

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