PSG-LOSC : les réactions lilloises
Rudi Garcia
(entraîneur de Lille)
Ce fut une finale accrochée en première période, analyse
l’entraîneur nordiste. Les deux équipes ont joué leur va-tout en
seconde période avec nos coachings. C’est tombé de notre côté, on
est heureux. Cela faisait 56 ans que le peuple lillois attendait
ça. C’est un avantage de ne pas avoir joué les prolongations. On
savait que le pied gauche de Ludo pouvait faire des ravages,
notamment sur coup de pied arrêté.
Adil Rami (défenseur de Lille)
Ce fut une finale accrochée en première période, analyse
l’entraîneur nordiste. Les deux équipes ont joué leur va-tout en
seconde période avec nos coachings. C’est tombé de notre côté, on
est heureux. Cela faisait 56 ans que le peuple lillois attendait
ça. C’est un avantage de ne pas avoir joué les prolongations. On
savait que le pied gauche de Ludo pouvait faire des ravages,
notamment sur coup de pied arrêté.
Ludovic Obaniak (milieu de Lille)
C’est énorme. Le coup franc, je le tire direct. J’ai l’habitude de
tirer ce genre de coups francs. C’est quelque chose que l’on
travaille à l’entraînement. On essaie de viser fort au deuxième
poteau. Si les défenseurs ne la touchent pas, ça peut toujours
gêner le gardien. Après, je ne vais pas dire que je voulais la
mettre directement en lucarne. Mais j’ai ce petit brin de chance
qui fait que le ballon retombe pile poil là où il faut. Tant
mieux.
Michel Seydoux (Président de Lille)
C’est le début d’une nouvelle ère. On est parti de pas grand-chose
pour monter tranquillement. Là, c’est le début des titres. On
change de braquet. Ce soir, c’est une bascule, on passe d’un état à
un autre. Aujourd’hui, on est un petit peu en avance. Le plus dur,
c’est le premier titre. C’est celui qui apporte la sérénité,
l’habitude, l’expérience. Ce soir, on a gravi une marche
extrêmement importante dans la progression du club.