
Revue de presse PSG : Gardiens, Skriniar, départs…
Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce
mardi 27 août 2024. Milan Skriniar se rapproche d’un départ, y
a-t-il vraiment match entre Donnarumma et Safonov ?, le mercato des
départs pourrait être mouvementé…

Dans son édition du jour, l’Equipe évoque l’avenir de Milan Skriniar. Alors que le défenseur central avait expliqué qu’il comptait rester au PSG cette saison et qu’aucune rumeur atour de l’international slovaque était avancée, il pourrait finalement quitter le club de la capitale avant la fin du mercato, lui qui n’entre pas dans les plans de Luis Enrique. Selon le quotidien sportif, l’Italie pense à lui. « Mais il ne s’agirait pas des top clubs de la Botte : ni la Juventus Turin ni les deux équipes de Milan. Naples a aussi été évoqué, notamment parce que l’entraîneur s’appelle Antonio Conte, avec lequel Skriniar a évolué pendant deux saisons à l’Inter. Mais, en interne au PSG, on ne croit pas trop à cette piste. » Autre alternative pour Milan Skriniar, Al-Nassr. « Des discussions existent entre le PSG et son homologue saoudien, mais il n’y aurait pas encore eu d’offre, selon nos informations, car en interne le dossier ne fait pas l’unanimité. » Et il serait surprenant que le joueur souhaite rejoindre le golfe Persique alors qu’il possède encore une certaine cote en Europe, notamment en Italie, avance le quotidien sportif. Compte tenu de son salaire important (1,1 M€ brut annuel), sauf à ce qu’il accepte une baisse sensible de ses émoluments, les possibilités ne seront pas légion, lance l’Equipe. « De ce point de vue là, l’Arabie saoudite constituerait une solution. Signe que les choses bougent quand même, Paris s’est mis en contact avec plusieurs défenseurs centraux ces dernières heures dont Tomas Araujo« , conclut le quotidien sportif.

De son côté, Le Parisien évoque les gardiens du PSG et se demande si entre Gianluigi Donnarumma et Matvey Safonov, il y a vraiment match. Adepte de la concurrence et désireux de challenger chacun de ses hommes, Luis Enrique avait ciblé ce poste et rapidement émis la volonté de compter sur un trio de gardiens performants, indique le quotidien francilien. Malgré ça, le coach du PSG ne remet pas en cause le statut de numéro 1 de Gianluigi Donnarumma. Il possède toujours la confiance de son coach qui compte sur son leadership. « Mais l’exigeant coach parisien attend une progression permanente de son portier italien — jeu au pied, lecture du jeu — et cela passe, à ses yeux, par une concurrence toujours plus importante qui permet de tirer vers le haut les trois portiers de son effectif. » Le Parisien explique qu’en interne, on se dit d’ailleurs agréablement surpris par les séances fournies par le Russe et sa capacité d’intégration dans le groupe est également saluée après un petit mois de cohabitation avec Donnarumma. L’international italien « n’a pas vu d’un mauvais œil la venue de Safonov et confie, en privé, être heureux de partager le vestiaire avec un compétiteur qui l’aidera à améliorer son jeu. » Décrit comme serein et excité à l’orée de sa quatrième saison, il lui faudra cependant afficher une régularité de tous les instants pour repousser la menace Safonov, décidé à être bien plus qu’une doublure, même s’il lui faudra, lui aussi, gommer ses défauts dans le jeu au pied sous pression, conclut Le Parisien.

Le quotidien francilien évoque aussi la fin du mercato du PSG. Si plusieurs joueurs sont invités à partir, le club de la capitale souhaiterait tout de même recruter un arrière gauche avant la fin du mercato, vendredi, mais sous condition. « Il cherche ainsi un joueur capable de venir doubler, et non concurrencer, Nuno Mendes mais ne fera pas de folie financière pour le recruter. La direction sportive est donc à l’affût d’une opportunité sur le marché avant la fermeture de la fenêtre de transfert le 30 août à 23 heures. » En ce qui concerne Jadon Sancho et Victor Osimhen, ils ne rejoindront pas le PSG. « Pour le premier, la direction sportive l’a fait savoir aux représentants du Mancunien en milieu de semaine dernière et elle n’a pas réactivé les contacts avec Naples pour le second dans la foulée de l’entorse ligamentaire de la cheville gauche de Gonçalo Ramos. » Au niveau des départs, deux dossiers semblent bien engagés, avance Le Parisien. Le PSG et Manchester United sont proches de trouver un accord pour le transfert de Manuel Ugarte autour de 60 millions d’euros. De son côté, Carlos Soler serait tout proche de rejoindre West Ham pour 23 millions d’euros. « Toutefois, pour boucler l’affaire, les Londoniens aimeraient boucler la vente de Kurt Zouma qui doit passer sa visite médicale avant de s’engager avec Al-Orobah en Arabie saoudite ce mardi. » Le quotidien francilien indique que pour ces deux dossiers, un certain optimisme règne. Tout comme pour Nordi Mukiele, qui a des touches en Turquie. Pas dans les plans de Luis Enrique, Danilo Pereira a vu la piste Al-Ittihad se refroidir. Il a également été annoncé dans le viseur de l’AS Monaco, qui souhaite voir partir Guillermo Maripan. Pour l’international portugais et Juan Bernat, le PSG « s’attend à trouver tardivement une solution. » Pour Milan Skriniar, tout est encore possible, avance le quotidien francilien. La piste Naples n’est pas fondée alors que selon les informations du Parisien, il n’y a pas d’accord, à l’heure actuelle, entre Paris et le club d’Al-Nassr. « À vrai dire, il règne même un certain pessimisme sur un éventuel départ de l’ancien interiste d’ici à la fin du mercato, même si au-delà du 30 août, Paris peut compter sur les marchés qatariens (9 septembre), saoudiens et turcs (le 13) afin de trouver une solution. » Pour autant, en cas de départ de Skriniar, Paris a déjà ciblé quelques pistes potentielles pour le remplacer, dont le jeune défenseur portugais de Benfica Tomas Araujo, indique le quotidien francilien. Enfin, deux titis devraient quitter le PSG. Joane Gadou a fait savoir qu’il ne signerait pas pro et qu’il quitterait son club formateur alors qu’Ayman Kari, qui n’a pas convaincu le staff, pourrait aussi partir, même s’il n’est pas complètement impossible de le voir rester non plus, conclut Le Parisien.