[11/10] Revue de presse PSG : Clasico, Bleus, Unai Emery…

Vu et lu au sujet du PSG ce mardi 11 octobre 2016 dans la presse nationale.

« L’Olympique de Marseille de Margarita Louis-Dreyfus sera bien vendu à l’homme d’affaires américain Frank McCourt avant le match contre le Paris-Saint-Germain. Le closing (vente totale) et l’officialisation auront lieu le lundi 17 octobre, soit le lendemain de la rencontre de la 9e journée de Ligue 1 face à Metz et donc avant le Classique (23 octobre), rapporte L’Equipe. Le futur président olympien, Jacques-Henri Eyraud, passera l’essentiel de ces prochains jours à Marseille. Margarita Louis-Dreyfus devrait garder 5 % des parts du club. Le nouveau propriétaire a dépensé 45M€ pour acquérir l’OM. »

Layvin Kurzawa hérite d’un 4/10, plus mauvaise note dans le quotidien sportif, comme Dimitri Payet, après le Pays-Bas/France : « Offensivement, il a été intéressant par sa disponibilité et un ou deux centres. En revanche, défensivement, il a été en difficulté. Les Pays-Bas ont souvent attaqué de son côté et, comme il n’était pas bien protégé par Payet, le Parisien a souvent pris la marée. Il a par ailleurs perdu un ballon dangereux à la 89e à l’origine de la seule occasion néerlandaise ». Blaise Matuidi obtient un 7/10. « Ce n’était pas le même Matuidi que face à la Bulgarie. Même s’il s’est fait éliminer facilement à deux reprises en première période (26e et 40e), il a récupéré un grand nombre de ballons et effectué un pressing haut comme il le fait si bien en club. Souvent dans le bon tempo, il a retrouvé ses repères dans ce système à deux récupérateurs. »

Le Parisien donne un 5 à Kurzawa (« Il a été pris défensivement plusieurs fois et on attendait plus de lui en attaque où son magnifique coup du foulard a été son seul fait d’armes ») et un 7 à Matuidi (« Il a rayonné au milieu de terrain. Son pressing a été remarquable et il a récupéré les ballons très haut (13 e). Il a joué juste comme sur ce décalage pour Payet (7 e). Et il a toujours su conserver l’équilibre au milieu de terrain »).

France Football s’intéresse à l’entraîneur du PSG : « Pour comprendre Emery, pour savoir qui il est et comment il s’est construit, pour expliquer surtout ce jusqu’au-boutisme qui l’anime depuis dix ans, il ne s’agit pas de s’appesantir sur la règle des trois T («talent, travail, ténacité»), ni sur le nébuleux concept de la «sérempathie». Il faut s’attarder sur quelques lignes, souvenirs de jeunesse, qui donnent les clés de sa personnalité d’homme et de coach. (…) Pour Emery, la vie d’entraîneur est un combat. (…) Emery maîtrise généralement son discours et ses gestes. Tout, ou presque, est calculé. (…) Féru de psychologie, le Basque sent jusqu’où il peut aller. Et ce qu’il veut en retour. »

« Depuis son arrivée, le coach espagnol n’a pas hésité à bousculer les codes et l’environnement parisiens, quitte à déstabiliser l’équipe et à se mettre lui-même en danger, lit-on également. Et ces « 7 péchés capitaux : 1/Un jeu contre nature, là où Ancelotti et Blanc prônaient la patience, Emery recherche l’instantanéité. C’est ce qu’il réclame à son effectif, pas toujours adapté à cette philosophie. 2/ Un recrutement à trous même s’il ne peut, seul, porter la responsabilité de l’été raté du PSG sur le marché des transferts. 3/L’affront fait à Matuidi. 4/ Du bachotage à l’entraînement. Le professoral Emery est particulièrement didactique lors des mises en place tactiques, concentré sur le moindre détail. Quitte à faire durer ces séances plus que de raison pour des joueurs internationaux pour la quasi-totalité. Au risque de les infantiliser. 5/ La guerre des Goals. 6/Le cas Ben Arfa. 7 / Le ciné-clubPartout où il est passé, le Basque a imposé de longues séances vidéo, collectives et individuelles. Il n’a rien changé au PSG, où les séances sur écran peuvent durer jusqu’à deux bonnes heures. Une torture pour quelques-uns, habitués jusqu’à présent à de courtes séquences plutôt qu’à des cours magistraux ».

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