Ménès : « Paris a été lésé de deux penaltys absolument évidents, ça ne doit pas passer aux pertes et profits »
Si Eric Bedouet, l’entraîneur des
Girondins de Bordeaux, a vu un PSG avantagé par
l’arbitrage (lire
ici) hier lors du 2-2 au Matmut Atlantique, toutes les autres
personnes normalement constituées ont pu constater que les
décisions de Frank Schneider avaient pesé en défaveur des
Parisiens. Et Pierre Ménès souhaite qu’on en
parle cette fois.
« Le PSG aurait dû l’emporter assez largement. Les
Parisiens ont tapé deux fois les montants par Di Maria et surtout,
ont été floués de deux penaltys évidents. Ce n’est
pas la première fois que je le dis, monsieur Schneider et
les pénos, ça fait douze, commente le journaliste sur
son blog Canal Plus. Cette fois, il n’est pas l’unique
responsable. Il y a quand même des mecs dans la
cabine. Comment est-ce possible qu’ils ne signalent pas la
faute de Koundé sur Neymar et celle de Costil sur Choupo-Moting
? Quand le PSG a une décision litigieuse en sa
faveur, on a le droit pendant huit jours à « l’argent
sale du Qatar qui achète le championnat ». Mais
là, ça devrait passer aux pertes et profits sous
prétexte que, vous comprenez, ils ont tellement d’avance…
Je ne suis pas d’accord. Hier soir, Paris a été
lésé de deux penaltys absolument évidents. Cela ne change pas grand
chose au classement et n’enlève rien à la qualité de la prestation
girondine mais cela n’avait pas lieu d’être. »