Les phrases marquantes d’Adrien Rabiot

Adrien Rabiot (22 ans), devenu un cadre à Paris, est à l’honneur dans le magazine de L’Equipe. C’est donc un très long entretien qui est proposé par l’hebdomadaire. Nous vous proposons une sélection de phrases intéressantes.

« Le Real Madrid en huitièmes, je trouve ça bien, c’est un très bon tirage. Retourner à Bernabeu, jouer dans cette ambiance, c’est vraiment top. »

« Il va falloir faire très attention, car les Madrilènes vont vouloir sauver leur saison avec la Ligue des champions. Ils vont être surmotivés. Ils ont une très grande expérience de cette compétition, ce qui est moins notre cas. C’est donc, à mon avis, du 50-50. Il y aura un duel entre Neymar et Cristiano. Je ne suis pas inquiet pour autant, et j’aime les défis. »

« Carlo Ancelotti, c’était un coach très proche de ses joueurs, il parlait beaucoup. De football, mais pas seulement. Il se souciait de ma vie à l’extérieur, de ma scolarité. Il était très humain. Pour mes débuts, c’était idéal. Laurent Blanc m’a aussi beaucoup apporté. J’étais très à l’écoute. Avec Unai Emery, j’apprends beaucoup sur le placement. Il insiste énormément là-dessus. Avec son staff, il travaille presque jour et nuit. Et ça fait plaisir de voir ça, c’est motivant. »

« Je suis quelqu’un de très collectif, qui essaie de faire en sorte que tout le monde soit bien, sur le terrain comme en dehors. Dans le groupe, j’aime rigoler et charrier. Et puis, je suis français, j’ai été formé ici, je suis de Paris. Les autres joueurs me voient un peu comme un symbole. Dans le vestiaire, le coach me demande de plus prendre la parole. »

« Neymar et Kylian, dans le vestiaire, ce sont des gars très simples. Neymar par exemple, il pourrait être un peu plus arrogant. Ce qui n’est pas du tout le cas. Après, forcément, c’est quelqu’un de privilégié, on sait qu’il a des passe-droits. Kylian aussi. Moi, cela ne me dérange pas et je n’y fais pas attention. Je ne suis jaloux ni de l’un, ni de l’autre. »

« Ma véritable ambition, c’est plutôt de jouer, progresser, être performant et décrocher une Ligue des champions… »

« Le départ de Blaise Matuidi m’a libéré ? Je pense que oui. Ce fut une double libération, même si nous nous apprécions beaucoup. Son départ m’a laissé une place dans le onze et ça m’a montré que le club comptait sur moi et voulait me faire cette place. »

Sur son contrat qui s’achève en juin 2019 : « Je ne discute pas avec mes dirigeants de cette question. Ma mère est là pour s’occuper de ça. Je n’ai donc rien à dire là-dessus. Elle a de l’expérience. Parfois, les gens ne la comprennent pas. Même moi, parfois, je ne la comprends pas. Mais je lui fais confiance, car je sais qu’elle va prendre la bonne décision, dans mon intérêt. »

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