Praud aurait voulu une réaction du vestiaire pour s’opposer à la mise à l’écart de Ben Arfa

Pascal Praud aime Hatem Ben Arfa, il le dit, il le clame ! Et il aurait voulu que ses partenaires de club se lèvent pour lui…

« C’est l’histoire d’un gâchis. Un scénario perdant-perdant. Hatem Ben Arfa est puni. C’est une histoire d’amour sans amour, un mariage forcé entre un entraîneur et un footballeur. Unai Emery a blacklisté Hatem Ben Arfa. Dehors ! Va voir là-bas si j’y suis ! Ben Arfa en réserve ? C’est Mozart qu’on assassine ! lance le journaliste sur son blog Yahoo à l’instar d’un Nabil Djellit. C’est l’histoire du foot en 2017. Les joueurs sont des pions, les stars des marchandises. Des pions ou des stars qui valent des fortunes, qui roulent en voiture rouge, qui voyagent en jet privé. Mais des pions quand même. […] C’est une histoire de mœurs et d’époque, chacun pour soi et Dieu pour tous. Le vestiaire est égoïste comme la vie est cruelle. Personne ne bouge. Il est fini le temps des mousquetaires, des amitiés viriles et des gars qui se tiennent la main. […] Je ne verrai plus Hatem Ben Arfa au Parc des Princes. Toutes les raisons qu’on me donnera, bonnes ou mauvaises, n’atténueront pas mon regret. Hatem, je t’aime. Petit lapin ne vient pas à Paris, les gens d’ici ne sont pas tous gentils… »

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