La revue de presse PSG : Dani Alves, Aurier

Vu et lu dans la presse hexagonale au sujet du PSG ce lundi 10 juillet 2017.

« Les négociations entre Dani Alves et le PSG ont surpris Manchester City, affirme Le ParisienLes Citizens pensaient que tout était réglé même si, depuis plusieurs
jours, Alves et son entourage ne donnaient plus de nouvelles. Les deux parties avaient trouvé un accord pour un bail de deux ans. Une source proche de City affirmait cependant hier que le club mancunien espérait toujours conclure l’affaire dans les prochains jours. Soit Alves se sert du PSG pour obtenir un meilleur contrat avec City. Soit le PSG est en train de réussir à détourner le Brésilien ».

« En fin de semaine, City a laissé fuiter que l’affaire était conclue et que Dani Alves était attendu à l’issue du week-end pour passer sa visite médicale et signer son contrat, rapporte L’EquipeC’est cette petite fenêtre de tir, pendant laquelle Dani Alves était aux Baléares pour se marier que Paris a exploitée pour passer à l’offensive in extremis. Le contact était déjà établi puisque, l’été dernier, l’agent d’Alves (qui n’est autre que son ex-femme) avait déjà discuté avec les dirigeants parisiens. Le deal ne s’était pas fait notamment parce que le joueur s’était montré très gourmand. Cette fois, il n’a pas encore tranché et, selon un proche, il est en train de peser les deux propositions. Si les retrouvailles avec Pep sont tentantes, la présence à Paris de Maxwell est un argument non négligeable sachant que les deux hommes sont très amis. Si le PSG parvient à conclure cette opération avec succès, il pourrait s’offrir à moindre coût (malgré un salaire et une prime à la signature sans doute conséquents) un des meilleurs spécialistes du monde au poste. Il enrôlerait aussi un joueur doté d’une énorme expérience mais aussi un leader charismatique, au caractère bien trempé, et une star très suivie sur les réseaux sociauxUne autre conséquence serait d’ouvrir grand la porte à un départ de Serge Aurier. L’Ivoirien n’a pas totalement convaincu Emery. Il a réclamé un bon de sortie à ses dirigeants, qui n’auraient plus aucune raison de s’y opposer, à condition qu’un club débourse au moins de 20 à 25 M€. »

 

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