Revue de presse PSG

Vu et lu au sujet du PSG ce dimanche 19 février dans la presse.

« Les Monégasques ont calé à Bastia vendredi soir (1-1), l’occasion est donc trop belle pour Paris (2e , 55 points). Encore faut-il qu’il évite de se relâcher après son carton historique face à Barcelone, écrit l’AFPUnai Emery a bien l’intention de faire tourner pour reposer les uns et les autres. Thomas Meunier, Marco Verratti ou Edinson Cavani pourraient ainsi être ménagés, même s’ils étaient bien à l’entraînement samedi, après avoir manqué celui organisé 24 heures plus tôt. »

« Confirmer ! Le verbe est une rengaine des entraîneurs, une sorte de mantra que les techniciens répètent après chaque résultat positif. Pour Paris, c’est plus que jamais une obligation au sortir d’une démonstration face à Barcelone au retentissement mondial, observe Le Parisien. La venue de Toulouse ce soir donne au PSG la possibilité de se replacer dans la course à sa propre succession en Ligue 1. Une occasion en or. Mais comme la bande à Messi, qui clame à tous les vents qu’elle est capable de renverser la tendance le 8 mars au Camp Nou, les Toulousains ne se présentent pas ce soir en victimes expiatoires, malgré une seule victoire à l’extérieur cette saison. »

« Il s’est engouffré dans son coupé sport McLaren sans le moindre mot. Grzegorz Krychowiak en a pourtant gros sur le cœur. L’international polonais a disputé hier son deuxième match du mois avec la réserve du PSG. Et peut-être pas le dernier, ajoute le quotidien francilien. Ironie du sort, cette rencontre où Krychowiak n’a guère brillé, s’est déroulée sous les yeux d’Adrien Rabiot, son partenaire qui l’a définitivement supplanté. L’ancien Sévillan n’est plus apparu dans le groupe parisien depuis le 21 décembre.  Son histoire avec le PSG s’apparente finalement à une grosse méprise. Acheté 26 M€ (hors bonus), il a démontré des qualités de combativité mais n’est pas taillé techniquement pour Paris. Et, comme avant lui Cabaye ou Stambouli au même poste, son destin devrait s’écrire loin de la capitale dès cet été. »

« Les entraîneurs de L1, sous le charme de la performance du PSG contre le Barça (4-0), saluent Unai Emery. Ils louent son goût du travail et sa faculté à bâtir un collectif, constate L’EquipeAvant, souvent en off, certains trouvaient qu’il s’agitait un peu trop devant son banc, qu’il était un poil démonstratif. Mais ça, c’était avant. À l’aube du printemps, les discours ont évolué et l’entraîneur espagnol a marqué des points, au point que ses défauts d’hier sont presque devenus ses qualités d’aujourd’hui. […] Aujourd’hui, on parle moins de sa maîtrise imparfaite du français que de sa science du jeu. »

« Dans la galaxie PSG, la réception de Toulouse, un dimanche soir de février, a forcément moins de saveur que celle du Barça en C1, lit-on encore. Et pourtant, ce rendez-vous revêt une importance au moins aussi grande que celui qui a vu les Parisiens éparpiller les Catalans par petits bouts, aux quatre coins du Parc, mardi soir : une victoire contre le Téfécé, et ils reviendraient à un point de Monaco. Le scénario rêvé… Depuis quelques semaines, la dynamique du PSG bouscule doucement les convictions de ceux qui voyaient l’ASM champion, fin mai, à coup sûr. Même si le jeu parisien n’a pas toujours la flamboyance de celui du club de la Principauté, il émane des joueurs de la capitale une force implacable ».

« La conférence téléphonique remonte à il y a quelques jours. Elle réunissait notamment Patrick Kluivert, Olivier Létang et les dirigeants toulousains, rapporte le quotidien sportif. Objet de l’échange : l’utilisation d’Odsonne Édouard, prêté au TFC. L’attaquant n’apparaît plus depuis trois semaines dans le groupe de Pascal Dupraz. Ce qui n’est pas du goût du PSG, qui s’en est ému. Il est très peu probable qu’un nouveau prêt d’Édouard au TFC soit étudié. Plusieurs gros clubs européens restent attentifs à l’évolution de cet espoir. »

« En clôture du week-end, la jeune troupe de Pascal Dupraz s’en va défier l’équipe qui vient de donner la leçon au Barça. Rien que ça… lance La DépêcheLe grand soir. Pour Paris c’était mardi, pour Toulouse aujourd’hui. à chacun sa Ligue des champions, en somme… les Dupraz Boys ont tout à gagner. ça a été le discours du staff depuis le coup de sifflet final de TFC-Bastia (4-0) samedi passé, ce sera la causerie du «Dieu angevin» à l’hôtel dans la capitale et au vestiaire dans l’enceinte parisienne. »

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