La revue de presse PSG

Vu et lu au sujet du PSG dans la presse hexagonale ce mardi 12 septembre 2017.

« Sans les fans, le football n’est rien. La maxime s’affiche à l’entrée du Celtic Park et rappelle au visiteur l’enfer qui l’attend dans ce stade, écrit Le Parisien. Paris a-t-il enfin l’étoffe d’un futur vainqueur après le recrutement XXL de cet été ? L’issue de cette première rencontre n’apportera pas toutes les réponses. Loin de là. Mais elle va donner le ton d’une campagne européenne qui s’annonce cruciale pour Unai Emery. […] Paris devrait retrouver son système fétiche en 4-3-3 ce soir. C’est ce qui ressort de la séance à huis clos. Verratti était installé à la droite du milieu au côté de Thiago Motta et Rabiot. Malgré sa bourde en Moselle, Areola devrait de nouveau être préféré à Trapp. Di Maria et Pastore, rentrés tous deux blessés de sélection, sont restés se soigner à Paris. »

« Le PSG a dépensé 850M€ pour composer son effectif actuel, selon les calculs du CIES. Il est le deuxième club le plus dépensier, derrière Manchester City avec 853M€. Les recrutements estivaux du club parisien ont fait augmenter le coût de son effectif de 395M€, soit de loin la hausse la plus importante d’Europe. Manchester United complète le podium (784 M€), lit-on également. Al-Khelaïfi a expliqué au « Telegraph » que le PSG avait travaillé « très dur ces six dernières années pour construire les revenus du club, qui sont passés de 90 M€ à approximativement 500 M€ sur les deux dernières saisons, décrypte le président parisien. Nous avons jusqu’au 30 juin 2018 pour respecter les critères du fair-play financier. Donc, je dis à tout le monde : détendez-vous et pensez à votre projet. Nous, nous pensons à la construction du nôtre. » (lire ici) ».

« Les recrutements historiques de Neymar et Mbappé ont placé le PSG dans la liste des prétendants sérieux à la victoire finale. Six mois après une traumatisante remontada, c’est inespéré, lance L’Équipe. À lui seul Neymar a transformé le visage du PSG, a redonné confiance à tout un groupe et a changé son statut aux yeux des autres équipes européennes. Paris sait déjà qu’il n’aura pas la partie facile en Écosse dans un stade incandescent. Mais quand on fait aujourd’hui figure d’épouvantail, et pas seulement en L1, on ne peut pas manquer ses grands débuts. Même si le premier grand test pour les Parisiens aura lieu dans deux semaines, le 27 septembre, avec la réception du Bayern de Carlo Ancelotti. »

« Le forfait de Pastore, toujours pour ses soucis à un mollet qui l’avaient déjà beaucoup handicapé la saison passée, constitue une mauvaise nouvelle, surtout si ses pépins devaient encore perdurer cette année, observe également le quotidien sportif. Ce match devrait marquer le retour au 4-3-3. C’est Julian Draxler qui du onze devant. Sans surprise et sauf pépin d’ici là, c’est le trio de feu formé par Kylian Mbappé, Edinson Cavani et Neymar qui sera aligné. […] Dans le but, hier, Alphonse Areola et Kevin Trapp ont alterné. Mais le Français, titulaire depuis le début de saison, est bien parti pour l’être aussi ce soir en Ligue des champions, malgré sa bourde (sans conséquence) de Metz. C’est le décryptage que l’on peut faire du discours tenu par Emery, hier. »

Enfin L’Equipe persiste et signe. « Dans l’article intitulé « Ligués contre le PSG » de notre édition d’hier, nous faisions état d’une confidence d’Aleksander Ceferin, le président de l’UEFA à certains dirigeants de clubs européens : « Si je veux être aussi populaire que Michel (Platini), je sais que je dois exclure le PSG des Coupes européennes ». L’instance européenne a réagi hier : « L’UEFA dément catégoriquement les propos qui ont été faussement attribués à son président Aleksander Ceferin (…). L’UEFA tient à rappeler (…) la totale indépendance de l’instance de contrôle financier des clubs et trouve qu’il s’agit d’une coïncidence bien étrange que de tels commentaires fictifs soient publiés en France en ce moment… Indépendamment de toutes spéculations qui pourraient apparaître à propos du fair-play financier, nous restons déterminés à veiller à ce que les processus et règles indépendants soient respectés et suivis. » De son côté, L’Équipe maintient l’intégralité de son information sur le sujet. »

« On connaît le refrain: «Une victoire en Ligue des champions ne se programme pas, elle se prépare.» On sait aussi que, pour la gagner, mieux vaut avoir tous ses meilleurs joueurs au top de leur forme entre mars et mai, ne pas être handicapé par les blessures ou les suspensions, avoir un peu de chance au tirage et provoquer la réussite le moment venu, publie France FootballEncore faut-il déjà posséder un effectif XXL, une maîtrise collective parfaite, des attaquants décisifs et de vrais leaders dans les moments clés. Si l’arrivée de Neymar, Mbappé et Daniel Alves doit clairement faire grandir l’équipe et améliorer son efficacité offensive, il n’est pourtant pas certain que Paris soit armé dans toutes les lignes et suffisamment équilibré. En comparant la structure de son groupe et son étoffe avec celles des récents vainqueurs, le Barça et le Real, on a encore des doutes. »

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